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Les commentaires de Sylvain Rakotoarison



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 24 février 2012 18:06

    Fergus, qui veut toujours faire le docte, ne sait pourtant pas bien lire puisque justement, je précise que ce ne sont pas des intentions de vote mais une préférence et j’insiste même, à l’occasion du second sondage, en indiquant qu’il est interdit de tester des seconds tours (car tout est très réglementé). Et j’évoque très clairement qu’au contraire, les intentions de vote pour François Bayrou sont sur un palier. Relisez donc !

    Alors, qui fait dans la manipulation ?
    Allez, je préfère mettre sur le compte d’un problème de lecture.
    François Bayrou s’est beaucoup investi depuis vingt ans dans l’illettrisme.
    Voulez-vous prendre un rendez-vous ?

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 23 février 2012 12:33

    Aux supposés lecteurs de Sophocle qui ne semblent manifestement pas savoir lire jusqu’au bout un article : c’est NKM elle-même qui se verrait bien à la place d’Antigone, mais en changeant son destin.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 8 février 2012 16:55

    Pour une raison que j’ignore, le corps de l’article a été complètement effacé.

    La liste est à ce lien :
    http://rakotoarison.over-blog.com/m/article-22261170.html

    ou celui-ci :
    http://rakotoarison.over-blog.com/article-22261170.html

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 8 février 2012 16:50

    À Écophonie,

    Mon sentiment importe peu et ne ferait que rendre un peu plus confus un débat qui, à mon sens, n’a pas à avoir lieu. Je me refuse d’obéir au diktat des médias. La cohésion nationale n’est pas, à mon sens, négociable, et commencer à disserter sur un sujet imposé n’apporterait rien de constructif.

    Daryn évoque effectivement un temps incompressible de contenu médiatique, chaque sujet chassant les précédents. Choisissons plutôt les sujets pertinents. Parlons plutôt des vrais enjeux de l’élection présidentielle, c’est sur les propositions concrètes que les électeurs jugeront les candidats, pas sur la énième polémique.

    J’avais regretté le silence estival à la suite du discours de Grenoble en été 2010. Là, je n’avais pas été silencieux car ce discours n’était pas une petite phrase (dans une rencontre à huis-clos) mais des décisions présidentielles qui engageaient la France, ce qui était très différent.

    Et puisque vous parlez de bottes et de pantoufles, il ne faudrait pas faire du relativisme de responsabilité. Je ne pourrais jamais blâmer l’éventuelle lâcheté de mes contemporains (je ne sais pas moi-même comment je réagirais en situation exceptionnelle), mais uniquement ceux qui ont décidé sciemment de s’asseoir sur les valeurs humanistes. La réalité est bien plus complexe que cela.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 8 février 2012 13:24

     À Écophonie,

    La phrase de C. Guéant n’est qu’une de ses innombrables provocations. Réagir, c’est aller dans son sens, n’avez-vous donc pas encore compris son jeu ? Il devient ainsi victime et peut pousser l’amalgame encore un peu plus loin.

    Les libertés ne sont pas en danger (la preuve, nous sommes en plein campagne présidentielle et c’est le candidat de l’opposition qui serait le favori).

    Ce ne sont que des propos électoralistes qui ne méritent aucune attention. Ce sont des chamailleries dans lesquelles se complaisent autant la majorité que l’opposition, c’est affligeant.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 7 février 2012 18:19

     À Zogarok,

    Je ne crois pas justement que c’est une fuite en avant.

    La fuite en avant, c’est d’avoir toujours voulu concilier l’inconciliable, tant à l’UMP qu’au PS, avec des politiques parfois très dirigistes et parfois libérales, sans beaucoup de cohérence, et somme toute, très « tièdes » (le programme de François Hollande est à cet égard un drôle de modèle).

    Ce qu’exprime François Bayrou depuis 2002 mais en fait, cette réalité était déjà perceptible dès le référendum sur Maastricht en 1992, c’est que les clivages politiques gauche/droite ne correspondent plus aux clivages idéologiques (acceptation de la réalité de la globalisation et accompagnement pour y associer tous les citoyens ou au contraire, refus d’ouverture et repli sur soi par protectionnisme économique ou/et par restriction de l’immigration).

    Bayrou a bien compris que le clivage réel dans la population, c’est : soit la solution est chez nous, soit la cause des problèmes est chez les autres (pays : Europe, pays d’immigrations, Chine, monde etc.). Bayrou pense que la solution est à trouver à l’intérieur de nos ressources tandis que d’autres (à gauche comme à droite) pensent que les autres doivent changer, ce qui entraînerait une impuissance de fait (on peut se changer, pas changer les autres).

    Exemple pratique : Bayrou est pour le renforcement de la construction européenne, mais complètement, avec une vraie démocratie européenne, avec un président élu au suffrage universel direct et qui a une envergure politique, pas un porte-drapeau technocrate, inaudible et désigné comme actuellement.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 7 février 2012 13:37

     À Superyeti,

    Où ai-je pleurniché ? de quel schmilblick parlez-vous ? et en quoi le faites-vous vous-mêmes avancer ?

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 7 février 2012 13:35

     À Voltaire,

    Cela prend aussi beaucoup de temps et il faut faire avec les limites matérielles qui s’imposent à tous.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 6 février 2012 13:19

     À Jymb

    Oui, bien sûr, il faut dégager le plus vite possible la neige pour éviter le blocage complet.

    Je ne préconise que l’arrêt des activités qui ne sont pas vitales, mais il y aura toujours nécessité de se déplacer pour les malades et pour d’autres cas d’urgence. En arrêtant les activités ordinaires, on permet justement une meilleure mobilité de ceux qui en auraient réellement besoin à court terme.

    Donc, nous sommes bien d’accord sur la nécessité qu’il faut dégager la neige, sur les routes pour les pouvoirs publics comme sur les trottoirs pour les habitants.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 8 décembre 2011 09:11

    Et vous soutenez la candidature de François Bayrou avec un pareil torchon ? Franchement, ne vous rendez-vous pas compte que vous êtes contreproductif ? Il faudrait vous calmer, Monsieur Philippe (et arrêter aussi avec votre antisarkozysme, vous risqueriez d’avoir quelques surprises, bientôt).

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 8 décembre 2011 08:50

    À l’auteur,

    Je suis comme vous très favorable à ce qu’il se passe en Alsace qui va devenir un petit laboratoire institutionnel.

    Cependant, vous avez fait une erreur en parlant des lois Defferre. Les régions ont été créées sous Pompidou par la loi du 5 juillet 1972 avec les frontières administratives actuelles ainsi que leur chef-lieu.

    La loi du 2 mars 1982 a surtout démocratisé la région en faisant élire les conseils régionaux au suffrage universel direct. Cette novation a rendu beaucoup plus visible et surtout beaucoup plus politique l’action de ces conseils régionaux.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 6 décembre 2011 07:57

    Informations complémentaires : c’est le Premier Ministre François Fillon lui-même qui interviendra dans le débat au Sénat sur le sujet et l’ancien ministre Jean-Pierre Chevènement (candidat à l’élection présidentielle) ne soutiendra pas le texte.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 25 novembre 2011 10:32

    Une dernière réponse.

    Il y a une commission de déontologie qui a justement connaissance (sous couvert du secret professionnel) de ces procédés et donc peut facilement voir s’il y a bidonnage ou pas d’un sondage à l’autre (changement de méthode sans raison etc.).

    C’est normal que ces procédés ne soient pas publics, ou du moins, aussi normal que n’est pas publique la recette de Coca Cola.

    Quant à l’intérêt économique des instituts de sondage, imaginez-vous directeur du marketing chez Coca Cola à chercher un institut pour votre prochaine étude (avec un gros budget) : iriez-vous vers celui qui s’est complètement planté pour une élection ?

    Bien à vous.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 25 novembre 2011 09:55

    À Bobbygre,

    Votre réflexion sur le « dopage » du score du FN est pertinente mais justement, je ne vous parle pas des résultats dans l’absolu mais en relatif, leur évolution avec le temps.

    Vous avez raison sur le fait que les méthodes utilisées (tous ces biais) sont discutables (c’est cela qui fait leur savoir-faire d’ailleurs), mais il faut admettre qu’ils utilisent toujours les mêmes méthodes pour une échéance donnée et le résultat réel de l’élection leur permet ensuite d’affiner pour la prochaine élection etc.

    Je suis d’accord avec vous que les instituts de sondage sont d’abord focalisés sur leurs clients, mais il faut bien admettre aussi que l’UMP, ou même l’Élysée (certains ont même trouvé scandaleux ces commandes), aient commandé des sondages et que ceux-ci n’étaient pas très réjouissants pour eux.

    Les instituts de sondage sont comme les médias et la presse en général : ils ne suivent pas une logique politique mais économique, ils sont plus à la remorque de l’opinion qu’à son amorce (il suffit de comparer la presse entre 2007 et maintenant sur Nicolas Sarkozy, même phénomène d’ailleurs pour Balladur entre 1993 et 1995 ; je crois que c’est Jean-François Kahn qui a donné la démarche classique : « lèche, lâche, lynche »).

    Et la logique économique des instituts de sondage, c’est d’être le plus proche de la réalité, car leur intérêt n’est pas dans le domaine politique mais économique et en cas de grande différence avec la réalité, ils risqueraient de perdre des clients bien plus intéressants que dans le domaine politique (qui est une grande fenêtre de visibilité dans leurs activités).

    Je le répète, ce qui est intéressant à prendre en compte, ce sont les pentes évolutives (les dérivées), c’est-à-dire les tendances. Les points à l’origine sont toujours incertains, mais pas les pentes quand plusieurs instituts les confirment. Et la concurrence est une bonne chose, car elle peut confirmer ou infirmer certaines évolutions de l’opinion.

    Croire qu’on peut bidonner un sondage pour le bon vouloir d’un gouvernant qui risque d’être éjecté dans cinq mois, c’est croire qu’une entreprise est prête à perdre beaucoup de CA pour pas grand chose. C’est en cela que je parle de naïveté.

    Bonne journée.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 25 novembre 2011 09:02

    Et j’ajoute que c’est la concurrence entre instituts (et donc, entre procédés correctifs) qui est intéressante : lorsque l’évolution est parallèle dans plusieurs sondages émanant d’instituts différents, elle est significative d’une réelle évolution de l’opinion. Cela a été le cas dans la montée progressive de François Hollande (là, étrangement, personne n’a remis en cause leur signification), et c’est le cas maintenant dans sa descente (dont j’explique quelques causes possibles).



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 25 novembre 2011 08:57

    À Bobbygre,

    Précisément, il y a des règles et une commission (au courant des procédés de correction) qui peut sanctionner en cas de manipulation. Si les instituts pouvaient aussi facilement que vous le croyez atteindre les résultats escomptés, ils n’auraient pas fait stagner la cote de popularité de Nicolas Sarkozy (qui serait supposé maîtriser la plupart des instituts de sondage) dans le rouge pendant plus de deux ans. Votre réflexion ne tient pas une seconde et c’est celle-ci qui me paraît bien naïve.

    La seule chose qui est intéressante dans ces sondages, c’est de les comparer en fonction du temps. C’est leur évolution qui est instructive, rien de plus.

    Quant à votre capacité de jugement sur cet article, il faudrait d’abord le lire jusqu’au bout avant de tenter de l’utiliser.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 17 novembre 2011 20:23

    Ce n’est pas vous qui allez me dire ce que je dois écrire. J’ai indiqué qu’il avait participé au plus haut niveau aux négociations sur le Traité constitutionnel européen. Ce qui n’est d’ailleurs pas une tare. Bien au contraire. C’est un avantage pour qui veut arriver au pouvoir dans les mois prochains.

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 novembre 2011 20:43

    Problème de lecture, sans doute. Je retranscris donc un extrait de mon texte :

    « (...) et enfin au gouvernement entre 1997 et 2002, aux Affaires européennes, chargé en particulier des discussions sur le Traité de Nice et sur le Traité constitutionnel européen. »

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 16 novembre 2011 20:41

    Problème de lecture, sans doute. Je retranscris donc un extrait de mon texte :

    « Il est d’ailleurs regrettable que les médias ne voient que deux seuls camps (UMP et PS) en oubliant les autres (...)  »

    Cordialement.



  • Sylvain Rakotoarison Sylvain Rakotoarison 29 octobre 2011 12:39

    (correction) entre le constat de clivage et la présence de trois légitimités.