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Commentaire de Étirév

sur À deux, c'est beaucoup mieux


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Étirév 7 décembre 2022 11:11

À l’Ecole Pythagoricienne, on enseignait l’unité de la nature féminine, dont le principe de vie ne se divise jamais : c’était le nombre 1. Et la dualité de la nature masculine dont le principe de vie se divise en deux parties : l’une pour être conservée et l’autre pour être donnée à la génération : d’où le nombre 2.
L’unité féminine était appelée la Monade, parce que la femme est l’être indivisé, d’où le mot individu.
La dualité masculine était la dyade. En latin, on disait homo duplex pour désigner la contrariété du cœur et de la raison, la duplicité (le double), suprême mystère de l’existence de l’homme.
NB : Arthur Lillie, parlant de la Déesse Durgâ (principe féminin primordial primitif) et du Lion, animal sur lequel elle est représentée chevauchant (India in primitive Christianity), écrit : « Le Lion est la monture de Durgâ et son signe favori. Ensemble, ils forment le Sphinx, la grande énigme que l’homme doit résoudre s’il veut vivre. ».
CADEAU !


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