@troletbuse
La notion de forme grave n’est pas de la foutaise, mais le terme est imprécis, généralement il s’agit de situations nécessitant l’hospitalisation.

On sait que les personnes de plus de 60 ans ainsi que ceux qui ont certaines comorbidités (diabète, obésité) risquent davantage de développer une forme de covid nécessitant notamment une assistance respiratoire, pouvant conduire en réa, et ont un taux de décès de suites de covid plus élevé.
Pour ces personnes, l’apport de l’immunisation du vaccin permet de limiter la prolifération virale conduisant à ces situations sévères, ce qui est un bénéfice supérieur aux risques des effets secondaires.
On peut trouver des dizaines d’études, mais tu diras qu’elles sont toutes truquées. Cela va t’étonner, mais je trouve aussi que les chiffres de beaucoup d’entre elles (genre 90% d’efficacité) paraissent gonflés, mais je me base sur le constat plus concret qui avait été fait en février-mars 2021 de la baisse de mortalité dans la tranche la plus âgée qui a été la première vaccinée, puis dans les tranches d’âge suivantes.

Pour les plus jeunes, ils ne développent quasiment pas de formes covid nécessitant l’hospitalisation, donc le bénéfice du vaccin n’est pas significatif. Par contre, la vigueur de leur mécanisme immunitaire conduit parfois à des surréactions entrainant thromboses ou inflammations cardiaques, effets secondaires plus intenses chez eux. C’est du reste ce qui avait conduit à ne plus les vacciner avec Astrazénéca pour lequel les problèmes post-vaccinaux étaient plus fréquents, avant de retirer complètement l’usage de ce produit.

PS : Il est évidemment nécessaire qu’il y ait débat contradictoire sur ces questions, car la présentation des média survalorise les effets bénéfiques de la vaccination et occultent totalement les risques, ce qui relève de la manipulation.