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Commentaire de La Bête du Gévaudan

sur Les paradoxes de l'évolution de l'espèce humaine


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La Bête du Gévaudan 25 avril 14:42

Je ne pense pas que le progrès soit coupable de ces maux. L’hygiène et la nourriture ont permis de passer l’espérance mondiale de vie de 25 à 75 ans en moins de 200 ans (tout le monde oublie ces « bienfaits de la colonisation » qui sont aussi une réalité). L’homme est libre. Ce qui est important, c’est le bon usage du progrès. Il faut développer et promouvoir la connaissance et la conscience.

Science sans conscience n’est que ruine de l’âme

(Rabelais, XVIème siècle). 

Beaucoup de « nouvelles maladies » (handicap, génétique, vieillesse, cancers, etc.) apparaissent aujourd’hui, car avant on mourrait bien trop jeune. Nous avons de nouveaux problèmes, mais ne regrettons pas les anciens ! Concernant la « malbouffe », les gens sont en partie responsable de leur propre inconduite : il faut aider chacun à faire preuve d’auto-discipline. Cela passe par l’information, et non par la culpabilisation. 

L’import de blé (gluten) permet à certains pays d’entretenir une surpopulation non-proportionnée à la ressource agricole autochtone. C’est au Maroc (indépendant depuis 1956) de voir la question souverainement. 

La Providence a pourvu l’homme de la curiosité et de la raison, afin qu’il en fasse bon usage. L’ignorance n’est pas souhaitable. C’est la science moderne qui permet de mieux comprendre les problèmes que vous décrivez.

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