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Commentaire de Enki

sur Les paradoxes de l'évolution de l'espèce humaine


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Enki Enki 28 avril 11:34

@Dr Khadija Moussayer

Bill Gates, d’origine anglaise, est d’éducation familiale et scolarité presbytérienne et, semble-t-il, non pratiquant lui-même. Curieuse cette association automatique que vous faites. Et aucune des personnes que je mentionne dans mon message précédant n’est juive. A l’inverse, si une personne richissime est clairement malfaisante avec son pouvoir est juive, cela ne va pas m’empêcher de la dénoncer : je ne fonctionne pas sur ce genre de catégories, même si je peux avoir des opinions par ailleurs, ici sur les religions.

J’insiste sur la vidéo de Ralph Baric que j’ai mise en lien : elle ne fait que 7mn30. Une face sombre de la science est bien la recherche « des gains de fonctions » (GoF en Anglais) : créer des virus qui rendent mieux contaminants et mieux pathogènes. Et ceci, pour créer des vaccins contre des maladies qui n’existent pas... On pousse loin loin le bouchon...
Sous Obama, d’ailleurs, une loi a été rendue interdisant la recherche sur les GoF aux Etats-Unis. Et du coup, ce type de recherche a été externalisé comme à l’institut de Wuhan sur le SARS Cov 2 financé par le NIH, via EcoEarth Alliance (Peter Daszak). Anthony Fauci a été interrogé plusieurs fois par le congrès Américain à cause de ça, il est toujours en risque d’inculpation. 
La vidéo a été réalisée par la chaîne d’information Chinoise CGTN-F : elle n’insiste donc pas sur ce qui s’est passé à Wuhan... Mais toutes les informations présentées sont largement sourcées, recoupées, confirmées . C’est une pièce du puzzle, si on veut, pas le paysage, sur l’origine du covid.
Ledit institut, un laboratoire P4, a été d’ailleurs construit par la France et la Chinoise Shi Zhengli, la fameuse « batwoman » a été formée en France pour son doctorat. L’institut Pasteur a au moins trois brevets de gains de fonctions sur le SARS Cov (le 1, pas le 2). Le SARS Cov 2 circulait déjà avant sa découverte à Wuhan : attesté aux Etats-Unis, en France (autopsies), en Italie (foyers d’infections respiratoires), en Espagne (eaux usées conservées).

Il y a 46 laboratoires P4 dans le monde (liste Wikipédia) et ceux P3, la catégorie en dessous, ne sont pas en reste pour muter les virus, ou créer des variants plus pathogènes. Ce sont des recherches à financements croisés, pas transparents, de motivations militaires, industrielles, secrets d’Etats... Vous voyez : autant de fuites possibles dans la nature, aussi bien accidentelles qu’intentionnelles. Il y a une convention internationale d’interdiction des armes bactériologiques, moi j’aimerais bien sur celle sur les GoF, pour laisser un peu tranquille l’humanité. 

Luc Montagnier a publié en mai 2020 avoir relevé des insertions non naturelles de fragments de rétrovirus humains (HIV 1 et HIV 2) et de rétrovirus de singe (SIV).
https://www.researchgate.net/publication/341768159_Jean_claude_Perez_Luc_Mon tagnier_-_COVID-19_SARS_and_Bats_Coronaviruses_Genomes_Unexpected_Exogenous_RNA_Sequen ces
Luc Montagnier semble savoir ce qu’est un HIV... D’autres études ont confirmé ces insertions et encore d’autres fragments (paludisme) : celles de Birger Sørensen, Li Meng Yan, les travaux du DRASTIC.
Mais les revues scientifiques ont peur de publier des études attestant que le covid vient d’un labo et non de la zoonose.

Richard Horton toujours directeur du « The Lancet » avait écrit en 2015 :
une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, peut simplement être fausse. (...) la science a pris un virage vers les ténèbres. (...) L’endémicité apparente d’un mauvais comportement de recherche est alarmante. Dans leur quête pour raconter une histoire fascinante, les scientifiques sculptent trop souvent des données pour s’adapter à leur théorie préférée du monde. Ou ils adaptent les hypothèses pour adapter leurs données. Les éditeurs de journaux méritent aussi leur juste part de critiques. Nous aidons et encourageons les pires comportements. (...). Notre amour de “significance” pollue la littérature avec beaucoup de contes de fées statistiques. Nous rejetons les confirmations importantes. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(15)60696-1/fulltext

Et malgré sa lucidité, il a laissé passer fin mai 2020 cette publication (ainsi que le NEJM) de cette étude bidon de métadonnées sur les effets de l’hydroxychloroquine sur le covid, produite par Surgisphere et conduite par une actrice porno. Sans même ici se prononcer sur les effets, ou non, de l’HCQ, l’étude a de toute façon servi d’instrument pour l’interdire.

J’en reste là avant de vous faire peur... J’aurais bien des informations à vous présenter sur Bill Gates (qui n’est pas juif !), mais j’ai déjà assez abusé en longueur.
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