Pour aller plus loin, une invitation à (re)lire l’article "La création de l’Union atlantique se précise" :
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=49881
Le 8 janvier 1974, Pierre Mendès France : "Une Europe libérale, fondée sur la seule concurrence " :
http://sauvonslademocratie.neufblog.com/le_canard_republicain/2007/04/une_e urope_libr.html
Cordialement.
Nous sommes le jeudi 5 mars 2009.
Je me permets d’intervenir car un lien a été supprimé, celui concernant le document des Amis du Traité de Lisbonne.
Pour ceux qui veulent lire ce document, cliquez simplement sur le lien qui suit :
http://sauvonslademocratie.neufblog.com/breves169.pdf
Cordialement.
Une invitation à (re)lire un bel article de Jérémy Mercier, "L’Université au Kärcher" :
http://sauvonslademocratie.neufblog.com/le_canard_republicain/2009/02/luniv ersit-au-k.html
Cordialement
le canard républicain
Bonjour Citoyen tmd.
Je suis de votre avis seulement par rapport au fait que pour beaucoup de nos concitoyen(ne)s, ce problème des plaques d’immatriculation est insignifiant devant l’ampleur du désespoir et de la souffrance qui commence à les gagner.
Mais, pour un(e) Citoyen(ne) qui essaye de comprendre l’importance accordée par le président de l’Etat français et par certains de nos parlementaires à ce problème des plaques d’immatriculation, je tiens à faire quelques remarques :
- Tout d’abord, il est peut-être intéressant de constater qu’à court/moyen terme, il devrait rester deux drapeaux sur les plaques d’immatriculation : celui de l’Union européenne et celui de la région. Absence –ce qui est déjà le cas- du drapeau de la République française à moins qu’on rajoute le drapeau des Terres australes et antarctiques françaises…
- La disparition des départements n’a rien d’anecdotique. Les départements furent créés le 26 février 1790 par l’Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l’homogénéité de la Nation. « Balayées les provinces avec leurs privilèges ; il n’y aura plus rien que des “départements” égaux en droit. » ( J.-J. Chevalier). Les départements furent nommés non pas d’après des critères historiques, pour ne pas rappeler le découpage en provinces de l’Ancien Régime, mais purement géographiques (noms de rivières, de montagnes, etc.).
- Pour construire cette Grande Europe (Une Europe fédérale ethno-régionaliste), il est nécessaire pour les contre-révolutionnaires de détruire la République française. Il me semble fondamental de lire le document suivant : http://sauvonslademocratie.neufblog.com/le_canard_republicain/2009/02/la-grande-europ.html
Je pourrais aller plus loin dans l’analyse. Mais, je ne peux qu’inviter chaleureusement les Citoyen(ne)s attaché(e)s à la République à lire le lien ci-dessus.
Cordialement.
Le canard républicain
Message pour « Pseudo Indépendance des chercheurs ».
La dernière fois que je suis intervenu, je n’avais pas le temps d’aller un peu plus loin par rapport à l’arrière-plan de votre boutique.
Vos observations par rapport à ce « brave Charlemagne » sont croustillantes. Faîtes-vous parti de la Fondation Richard Coudenhove-Kalergi ? (voir mon article sur agoravox : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=39241 ).
Peut-être que tout simplement vous êtes associés à l’ARFE ( Association des Régions Frontalières Européennes) ou encore à l’UFCE (Union Fédéraliste des Communautés Ethniques) ? Vous connaissez certainement messieurs Joan Vallvé et Karl Ahrens, n’est-ce-pas ? Pour les lecteurs d’agoravox qui souhaitent savoir exactement de quoi il retourne, il sera nécessaire de lire les chapitres 1 et 2 du livre de Pierre Hillard « La décomposition des nations européennes ».
Vos remarques par rapport à l’ONU –ce « machin » (par moments) qui semble être l’une de vos références absolues- méritent aussi une observation. Actuellement à l’ONU, il se passe des choses très bizarres. Il semblerait que certains groupes, par l’intermédiaire de l’ONU, commencent à s’attaquer aux droits de l’homme. Par exemple, avez-vous entendu parler du délit de blasphème ?
En fait, « Indépendance des Chercheurs », vous êtes des prestidigitateurs, des sophistes. Vous mélangez les idées, les concepts ; vous manipulez la mémoire et les individus. Derrière toutes vos observations, il se cache en fait un but très précis, mais non avoué : faire exploser les Etats-nations et arriver à votre nouvel ordre mondial basé en particulier sur des principes ethnicistes. La République française –du moins ce qu’il en reste- est, pour vous, à abattre, en particulier à cause de la conception de la nation qui en découle ( voir http://sauvonslademocratie.neufblog.com/le_canard_republicain/2007/02/levon s_lambigui_1.html) . Depuis Charlemagne, il y a eu un événement d’une portée considérable que par-dessus tout vous combattez : 1789.
Pour les langues régionales, il est nécessaire de connaître l’arrière- plan d’une cause « sympa » qui, sur certains aspects, est légitime.
Je lis les articles d’agoravox régulièrement et vous pouvez compter sur moi pour intervenir à chacune de vos interventions, simple citoyen que je suis.
Petit commentaire pour "Pseudo Indépendance des Chercheurs " :
Votre référence...wikipédia. Amusant pour des "Chercheurs".
Ma référence...Un peu plus sérieux : Michel Winock, historien maintes fois traduit. Son livre "Clemenceau" est à découvrir. Clemenceau, le dreyfusard qui mène pendant neuf ans le combat du droit et de la justice. Et Clemenceau, oui Clemenceau, le farouche opposant à la colonisation. Cet homme de la gauche républicaine qui a incarné une "certaine idée de la France".
Derrière "Indépendance des Chercheurs", il se cache surtout des contre-révolutionnaires et des antirépublicains.
Bonne nuit.
Demat Grandpas.
Si vous me le permettez, mar plij, je vous communique un texte écrit par un breton, M. Anicet Le Pors, ancien ministre et membre du Conseil d’Etat : "La Charte européenne des langues régionales et minoritaires : une régression" par Anicet Le Pors. Le lien vers ce texte :
http://sauvonslademocratie.neufblog.com/le_canard_republicain/2008/11/la-charte-europ.html
Lisez-le attentivement avec mon P.S.
Trugarez.
Noz vat.
Oui.
http://www.pouruneconstituante.fr/?p=acc
Cordialement.
Dans l’émission "Du Grain à moudre" sur France Culture : " Que dit le Pape quand il parle ? "
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/grain/?PHPSESSID=30d552b984398c3a49b3cb3be787b7c1
Invités : Bernard Sichère ; Jean François Colosimo et surtout Henri Pena-Ruiz.
Henri Pena-Ruiz : "Certains hommes croient en un dieu ; d’autres en plusieurs , d’autres encore sont athées ou agnostiques. Tous ont à vivre ensemble. Cette vie commune, selon la première Déclaration des droits de l’homme, doit assurer à chacun et la liberté de conscience, qui exclut toute contrainte religieuse ou idéologique, et l’égalité de droit, incompatible avec la valorisation privilégiée d’une croyance. La puissance publique promeut le bien commun. Elle devra donc être neutre sur le plan confessionnel et développer, par l’instruction, l’exercice autonome du jugement. Afin que tous apprennent à vivre leurs convictions sans fanatisme ni intolérance. Ainsi comprise, la laïcité n’est pas de l’ordre d’une option spirituelle particulière, mais constitue une condition de possibilité fondamentale de la vie publique. On ne saurait en conséquence la renégocier sans cesse, notamment au gré des fluctuations du paysage religieux et des rapports de forces qui les sous-tendent." extrait de son livre "Qu’est-ce-que la laïcité ?"
Bonjour.
Les départements furent créés le 26 février 1790 par l’Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l’homogénéité de la Nation. " Balayées les provinces avec leurs privilèges ; il n’y aura plus rien que des "départements" égaux en droit. " ( J.-J. Chevalier)
Les départements furent nommés non pas d’après des critères historiques, pour ne pas rappeler le découpage en provinces de l’Ancien Régime, mais purement géographiques (noms de rivières, de montagnes, etc.).
Depuis plusieurs années -avec une accélération phénomènale depuis quelques mois-, les acquis révolutionnaires et républicains (laïcité, égalité devant la loi, démocratie, liberté, abolition des privilèges, etc) sont attaqués.
Nous sommes devant une poussée contre-révolutionnaire.
Aujourd’hui, dans les faits, la République française est morte !
Le département, ce n’est pas un symbole. Ce fut un acte de portée politique.
Je pense -tout du moins je l’espère - que beaucoup de lecteurs d’agoravox sont attachés à la République.
" Le véritable clivage de notre politique opposera alors - il oppose déjà en réalité - ceux qui veulent continuer notre république indivisible, laïque, démocratique et sociale, à ceux qui persisteront à vouloir se soumettre et à nous soumettre au « consensus de Bruxelles ». " François Bunner, président du Rassemblement des Citoyens pour la République.
Bonsoir Monsieur. Il est toujours très intéressant de constater que vous faîtes la distinction entre les architectes- les plans et la construction. Cette construction européenne, elle n’est pas tombée du ciel : "Et Dieu créa l’Union européenne...". Amen
M. Richard Coudenhove-Kalergi est l’un de ces architectes de cette europe-là auquelle nous avons droit.
Sur le site de la Fondation Coudenhove-Kalergi (http://www.coudenhove-kalergi-stiftung.org/stiftung_richardcoudenhovekalergi1.asp), il est rappelé l’importance de ce personnage :
- "L’Union Paneuropéenne a été créée par Coudenhove-Kalergi en 1923"
- "Ce fut à nouveau l’initiative privée de Coudenhove-Kalergi qui conduisit à l’Union Parlementaire européenne, laquelle contribua à la création, en 1949, du Conseil de l’Europe. Le Conseil de l’Europe fut créé en tant que conseil de ministres et avait à ses côtés, comme organe consultatif, une assemblée parlementaire. Le parlementarisme européen était né. L’Union Parlementaire européenne s’était transformée en Conseil de l’Europe".
- "Par la suite, Coudenhove-Kalergi se consacra de nouveau à la refondation du Mouvement Paneuropéen. Le 6ème congrès paneuropéen, qui se tint à Baden-Baden en 1954, mit sur pied un conseil central international composé d’hommes d’Etat, d’intellectuels et d’industriels. Le président incontesté de l’Union Paneuropéenne restait Coudenhove-Kalergi."
Sur ce même site de la fondation (http://www.coudenhove-kalergi-stiftung.org/stiftung_stiftungsratsmitglieder1.asp), on trouve quelques noms de membres de celle-ci :
- André Rossinot (Coordinateur pour la coopération avec Nancy) ; feu Raymond Barre
(Ancien Premier ministre de France, ancien maire de Lyon) ; Jean-Paul Bled (Professeur à Paris Sorbonne) ; Maurice Druon (Secrétaire perpétuel de l´Académie Francaise) ; etc.
Il est spécifié dans les textes officiels que "La structure de l’Union paneuropéenne se caractérise par la large autonomie laissée à chacune des organisations qui y ont adhéré ou y sont associées (...). Par contre, l’unité de doctrine, telle qu’elle est exprimée dans la "Déclaration de base" de Strasbourg de 1973, réactualisée en 1995, découlant des propositions de Richard Coudenhove-Kalergi, forme le ciment qui unit entre elles ces différentes associations dans la pensée et dans l’action"
"Enfin, il est intéressant de relever les noms des principales personnalités au sein de la Paneurope France favorables à ces idées depuis les années 90 d’autant plus que la présence de certains étonne au vue de leur action officielle. Depuis 1993, trois présidents se sont succédés : Yvon Bourges (1993-2000), Hervé Gaymard (2000-2002, actuel ministre de l’agriculture du gouvernement Raffarin) et Alain Terrenoire (depuis 2002, conseiller régional de Basse-Normandie). Le Comité directeur, élu le 29 janvier 2002, se compose de plusieurs Présidents d’honneur (sans tous les citer) comme : Jacques Chirac, Raymond Triboulet, Yvon Bourges ou Hervé Gaymard. A cela, il faut ajouter à ce Comité un groupe où l’on retrouve par exemple : Hervé Lavenir de Buffon, Alain Madelin, Lucien Neuwirth ou encore Roland Nungesser. Enfin, le Comité d’honneur regroupe des personnages en vue comme : Jacques Chirac, Hélène Carrère d’Encausse, Michel Barnier, Raymond Barre, Jean-François Deniau, Alain Juppé, Christian Poncelet (Président du Sénat), Yves Thibault de Silguy (ancien commissaire européen) ou encore Philippe Seguin." (voir chapitre 17 L’Union Charlemagne).
Toutes ses personnalités qui ont fait ou qui font cette Europe-là ont une "Bible" dont l’auteur est M. Richard Coudenhove-Kalergi.
Cordialement.
le canard républicain
Bonsoir Thierry.
Ce projet européen, une tentative de créer ..."Un nouvel Empire mondial" (R. C-K).
L’Union européenne est peut-être qu’une étape avant l’Union atlantique...
Merci pour votre commentaire.
Cordialement.
le canard républicain
Pétition contre les machines à voter : http://www.ordinateurs-de-vote.org/
Déjà près de 100 000 signatures....
Pour connaître tous les parlementaires qui ont signé l’appel pour un référendum : http://www.nousvoulonsunreferendum.eu/index.php?option=com_content&task=blogcategory&id=18&Itemid=35
Une autre forme d’action : « Tous à Versailles le 4 février ! » : http://www.tousaversaillesle4fevrier2008.fr/
Un autre excellent article de Bernard Cassen présent cette fois-ci dans Le Monde diplomatique « Résurrection de la Constitution européenne » : http://www.monde-diplomatique.fr/2007/12/CASSEN/15442
L’avis du Conseil constitutionnel rendu le 20 décembre établit que le traité de Lisbonne et le Traité Constitutionnel sont presque identiques : http://www.gaullisme.fr/conseil-constitutionnel-europe_020108.htm
Une invitation à découvrir l’excellent livre du philosophe Henri Pena-Ruiz « Qu’est-ce-que la laïcité ? », 2003, édition Gallimard
Petit extrait :
Henri Pena-Ruiz : « Certains hommes croient en un dieu ; d’autres en plusieurs , d’autres encore sont athées ou agnostiques. Tous ont à vivre ensemble. Cette vie commune, selon la première Déclaration des droits de l’homme, doit assurer à chacun et la liberté de conscience, qui exclut toute contrainte religieuse ou idéologique, et l’égalité de droit, incompatible avec la valorisation privilégiée d’une croyance. La puissance publique promeut le bien commun. Elle devra donc être neutre sur le plan confessionnel et développer, par l’instruction, l’exercice autonome du jugement. Afin que tous apprennent à vivre leurs convictions sans fanatisme ni intolérance. Ainsi comprise, la laïcité n’est pas de l’ordre d’une option spirituelle particulière, mais constitue une condition de possibilité fondamentale de la vie publique. On ne saurait en conséquence la renégocier sans cesse, notamment au gré des fluctuations du paysage religieux et des rapports de forces qui les sous-tendent. »
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