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Accueil du site > Actualités > Europe > Il y a 20 ans, l’élargissement de l’Union Européenne

Il y a 20 ans, l’élargissement de l’Union Européenne

« Pour tous nos pays, appartenir aujourd’hui à l’Europe, c’est refuser de se laisser appartenir à la Chine, à la Russie ou même de s’aligner docilement sur les États-Unis. C’est refuser que notre continent de nouveau se divise et laisse son destin lui échapper. » (Jacques Delors, le 6 décembre 2021).

Il y a vingt ans, le 1er mai 2004, l'Union Européenne, qui comptait quinze États membres, s'est élargie de dix États membres supplémentaires : la Pologne, la Hongrie, la République tchèque, la Slovaquie, la Slovénie, la Lituanie, la Lettonie, l'Estonie, Chypre et Malte. Le 1er janvier 2007, ce cinquième élargissement a été complété par l'adhésion également de la Roumanie et de la Bulgarie.

Ce n'était pas le premier élargissement, ni le dernier, puisqu'il y a eu un 28e État membre qui a rejoint l'Union Européenne, la Croatie le 1er juillet 2013, mais celui de 2004 était l'élargissement le plus politique, et même, qui a revêtu la plus grande importance géopolitique. Sans même compter Chypre dans une partie est occupée par les Turcs depuis 1974.

Avant d'évoquer cet élargissement très important, rappelons très rapidement les différentes dates des précédents élargissements. Les dates entre parenthèses correspondent à la ratification dans chaque pays du traité en question (pour que l'adhésion soit effective, il faut que tous les États membres et candidats à l'adhésion signent le traité correspondant, puisque ce traité soit ratifié par eux-mêmes, en particulier les futurs membres, selon les procédures constitutionnelles propres à chaque nation, par leur parlement ou par référendum).

1er janvier 1958 (Europe des Six) : Création de la Communauté Économique Européenne (CEE) avec la France (23 juillet 1957), l'Allemagne (19 juillet 1957), l'Italie (9 octobre 1957), la Belgique (28 novembre 1957), les Pays-Bas (4 décembre 1957) et le Luxembourg (26 mars 1957), par le Traité de Rome signé le 25 mars 1957).

1er janvier 1973 (Europe des Neuf) : Adhésion du Royaume-Uni (16 octobre 1972), de l'Irlande (10 mai 1972) et du Danemark (2 octobre 1972), par le Traité de Bruxelles signé le 22 janvier 1972.

1er janvier 1981 (Europe des Dix) : Adhésion de la Grèce (28 juin 1979), par le Traité d'Athènes signé le 28 mai 1979.

1er février 1985 : Retrait du Groenland après le référendum du 23 février 1982 (pourtant territoire du Danemark).

1er janvier 1986 (Europe des Douze) : Adhésion de l'Espagne (26 juin 1985) et du Portugal (11 juillet 1985), par le Traité de Madrid-Lisbonne du 12 juin 1985.

3 octobre 1990 : Réunification de l'Allemagne et rattachement de l'Allemagne de l'Est aux Douze.

1er novembre 1993 : Transformation de la CEE en Union Européenne, par le Traité de Maastricht signé le 7 février 1992.

1er janvier 1995 (Europe des Quinze) : Adhésion de l'Autriche (12 juin 1994), de la Suède (13 novembre 1994) et de la Finlande (16 octobre 1994), par le Traité de Corfou signé le 26 juillet 1994. La Norvège a renoncé à adhérer.

1er mai 2004 : Adhésion de la Pologne (23 juillet 2003), de la Hongrie (21 décembre 2003), de la République tchèque (30 septembre 2003), de la Slovaquie (1er juillet 2003), de la Slovénie (28 janvier 2004), de la Lituanie (16 septembre 2003), de la Lettonie (2 octobre 2003), de l'Estonie (21 janvier 2004), de Malte (14 juillet 2003) et de Chypre (14 juillet 2003), par le Traité d'Athènes signé le 16 avril 2003.

1er janvier 2007 : Adhésion de la Roumanie (17 mai 2005) et de la Bulgarie (11 mai 2005), par le Traité de Luxembourg signé le 25 avril 2005.

1er juillet 2013 (Europe des Vingt-huit) : Adhésion de la Croatie (4 avril 2012), par le Traité de Bruxelles signé le 9 décembre 2011.

1er février 2020 : Retrait du Royaume-Uni après le référendum du 23 juin 2016 sur le Brexit.

Comme on le voit, l'élargissement du 1er mais 2004 a été le plus massif et a considérablement modifié la physionomie et le point de gravité de l'Europe. Avant 2004, le dernier élargissement a eu lieu le 1er janvier 1995 et il était en quelque sorte la dernière occasion d'unifier l'Europe occidentale. Après le noyau dur des six pays fondateurs (France, Allemagne, Italie et Benelux), le rattrapage du Royaume-Uni après une dizaine d'années de veto français (à cause de De Gaulle) avec le Danemark et l'Irlande en 1973, l'exception grecque voulue par Valéry Giscard d'Estaing dès 1981, les deux États de la péninsule ibérique en 1986 malgré les protestations des viticulteurs français (et italiens), en enfin les États scandinaves (sauf la Norvège qui préfère l'indépendance totale) et l'Autriche, l'Europe est devenue un bloc continental exclusivement occidental (avec deux États neutres, la Finlande et l'Autriche).

C'est donc pendant les années 1990 que l'évolution européenne s'est poursuivie, en réponse à la chute de l'URSS et à la libération des États de l'Europe centrale et orientale anciennement sous le joug soviétique. La question était alors la suivante : fallait-il d'abord approfondir la construction européenne (rajouter des solidarités européennes à Quinze, plus facilement qu'à Vingt-cinq, et adapter le fonctionnement institutionnel) ou d'abord élargir aux pays de l'Europe centrale et orientale ? La question était cruciale après une forte avancée de la construction européenne sous la Présidence de la Commission Européenne de Jacques Delors (1985-1995), avec l'Acte unique européen (notamment harmonisation des diplômes), les Accords de Schengen et ERASMUS (ces deux derniers hors du cadre spécifique de l'Union Européenne), l'Union économie et monétaire qui a donné la monnaie unique avec l'euro instauré en 1999, etc.

Au milieu des années 1990, le sentiment anti-européen a commencé à se développer au sein des peuples européens, notamment à cause de la bureaucratie bruxelloise et les normes de plus en plus invasives dans la vie quotidienne afin de construire un standard normatif européen très exigeant (qui le reste encore dans le monde). Les tentatives d'approfondissement n'ont jamais vraiment abouti tandis que l'opportunité politique d'un élargissement se faisait sentir.

Le problème était le suivant : une organisation (quelle qu'elle soit) ne se structure pas de la même manière lorsqu'elle réunit vingt-cinq membres que lorsqu'elle réunit six membres. En 1958, la règle de l'unanimité, qui rassure sur la souveraineté nationale de chaque État membre, pouvait se pratiquer, car il n'y avait que six partenaires. À vingt-cinq, la règle de l'unanimité est quasi-impossible. Or, ne plus pouvoir prendre de décision, c'est se paralyser. L'approfondissement avait donc ces deux rôles : modification des institutions européennes pour un fonctionnement à plus de vingt, avec, dans certains domaines, des décisions prises à la majorité qualifiée (nombre d'États et population que cela regroupe) au lieu de l'unanimité. C'était l'objet du Traité d'Amsterdam signé le 2 octobre 1997 après la Conférence intergouvernementale de Turin, puis du Traité de Nice signé le 26 février 2001.

L'autre rôle de l'approfondissement, c'est d'agrandir les domaines de coopération européenne, en particulier la politique étrangère et la défense (on voit aujourd'hui à quel point ces domaines sont essentiels et même vitaux). Cet agrandissement des compétences européennes n'a eu lieu qu'avec le Traité de Lisbonne signé le 13 décembre 2007 à la suite de l'échec du référendum du 29 mai 2005 en France qui a rejeté le Traité établissant une Constitution pour l'Europe (TCE) signé le 29 octobre 2004 après l'élargissement du 1er mai 2004 et les travaux de la Convention pour l'Avenir de l'Europe présidée par Valéry Giscard d'Estaing.

Dans ces années 1990, le débat était sur la capacité de rajouter des compétences européennes, mais pas pour tout le monde, un peu à la carte, comme c'était le cas pour la zone euro mais aussi les Accords de Schengen, etc. (les pays membres ne sont pas tous dans la zone euro mais peuvent tous y prétendre). C'était admettre que certains pays étaient plus européens que d'autres. Une notion, soutenue notamment par Édouard Balladur, alors Premier Ministre français, était d'imaginer une Europe à plusieurs cercles concentriques, avec des États plus intégrés que d'autres dans la construction européenne, mais avec le risque d'une Europe à deux voire trois vitesses.
 

Pourtant, politiquement, il y avait une urgence à intégrer les États de l'Europe centrale et orientale, afin de réunifier le continent européen. Après la chute du mur de Berlin, le Rideau de fer aurait pu paradoxalement se maintenir par le fait des démocraties d'Europe occidentale si elles refusaient d'intégrer les anciens pays du bloc soviétique. Cette adhésion a été massive puisque, en moins de trois ans, douze pays ont adhéré à l'Union Européenne. Il aura fallu quinze à dix-huit ans pour permettre aux anciens régimes communistes de s'intégrer, ce qui, historiquement, est très long (pratiquement une génération). La Grèce a mis sept ans pour adhérer après la chute de la dictature des colonels. Le Portugal a mis douze ans, et l'Espagne, dix ans après la chute de leur dictature respective (issue de Salazar et de Franco).

Le risque d'un trop grand nombre d'États membres est bien sûr une sorte de paralysie institutionnelle et l'impression d'avoir fabriqué un monstre institutionnel, avec jusqu'à vingt-huit membres, quasiment autant de langues, etc. Les affaires européennes sont devenues alors des affaires ultracompliquées pour plein de raisons, structurelles bien sûr, mais aussi politiques, car chaque État a son propre calendrier électoral, ses propres populismes, son propre électorat et donc, les décisions prises au niveau européen sont dépendantes souvent de considérations de politique intérieure de chaque État.

À mon sens, l'une des conséquences a été le Brexit : la tenue du référendum était le fruit absolu de considérations électoralistes (de David Cameron), et d'un courant eurosceptique résultant d'un risque d'enlisement technocratique. À partir des années 2000, d'ailleurs, et jusqu'à maintenant, l'Europe a surtout cherché à répondre aux urgences du moment, des crises des dettes souveraines à la crise du covid-19, de la crise inflationniste et énergétique à la guerre en Ukraine.

Les perspectives actuelles de l'Union Européenne sont contrastées. D'une part, jamais le courant populiste anti-européen n'a été aussi fort dans la plupart des États membres, avec des victoires électorales en Hongrie, en République tchèque, en Slovaquie, en Italie, aux Pays-Bas (mais aussi des échecs comme en Pologne). D'autre part, la position belliqueuse de Vladimir Poutine et le risque d'un retour de Donald Trump à la Maison-Blanche obligent les Européens à renforcer leur coopération dans le domaine militaire pour assurer une défense autonome sans les États-Unis (ce qui devraient réjouir tous les contempteurs de l'OTAN).

Après Jacques Delors, l'Union Européenne a aussi péché par manque de leadership européen, dans le sens de personnalités charismatiques qui puissent pousser la construction européenne. La plupart des dirigeants européens pendant ces vingt dernières années ont été des européens par raison et pas par passion, adeptes d'une liberté économique qui refuse de voir les atteintes extérieures à une concurrence loyale (sans protectionnisme). La chance aujourd'hui d'avoir Emmanuel Macron à l'Élysée, c'est la même que lorsque Valéry Giscard d'Estaing y était : il est Européen par passion et est capable, aujourd'hui, d'impulser une véritable relance de la construction européenne, dans le domaine de la souveraineté économique et industrielle et surtout dans le domaine de la défense. Même l'Allemagne a compris qu'il fallait évoluer dans la conjoncture actuelle, celle de tous les dangers.
 

Bien sûr, il reste à répondre à l'épineuse question des futurs élargissements. Actuellement, neuf pays sont candidats reconnus à l'adhésion, principalement des anciens pays de l'ex-Yougoslavie (Serbie, Bosnie-Herzégovine, Macédoine du Nord, Monténégro), l'Albanie, mais aussi l'Ukraine, la Moldavie, la Géorgie et la Turquie. Le Kosovo n'est pas encore reconnu officiellement comme candidat à l'adhésion. Quant aux trois autres États européens, l'Islande, la Norvège et la Suisse, elles ont renoncé à adhérer respectivement le 12 mars 2015, le 28 novembre 1994 et le 27 juillet 2016, pour certains après trois tentatives (pour la Norvège, par exemple, en 1962, en 1972 et en 1994).

Comme pour la Grèce en 1981, et pour l'Europe centrale et orientale en 2004-2007, l'intégration de l'Ukraine, de la Moldavie et de la Géorgie, dont les candidatures ont été reconnues officiellement par les Conseils Européens du 23 juin 2022 et du 14 décembre 2023, les considérations politiques et de solidarités devraient l'emporter sur des considérations purement économiques ou même institutionnelles.

L'enjeu de l'Union Européen reste historique et est une construction originale et inédite dans l'histoire des nations car elle se fait à la fois selon la volonté de chaque peuple qui la compose et avec la force d'une unité qui en fait un bloc incontournable dans la planète, avec cette devise très significative : unis dans la diversité. L'Union Européenne du 1er mai 2024 est un bloc humain peuplé de 450 millions d'habitants sur une superficie de 4,2 millions de kilomètres carrés, troisième puissance mondiale en PIB nominal après les États-Unis et la Chine.

Elle n'est pas parfaite, elle a beaucoup de défauts, mais c'est parce que cette construction s'est toujours faite avec la volonté des peuples qu'elle se réalise très lentement. Elle est l'anti-modèle des autocrates au pouvoir de toute obédience, et à ce titre, elle est dénigrée par tous ceux qui refusent les principes de démocratie, liberté, égalité, laïcité. C'est pour cela qu'il faut précieusement conserver cette organisation et la faire vivre avec le plus de démocratie possible. Car on l'oublie un peu trop souvent : le citoyen européen a la chance et le privilège de pouvoir voter dans les conditions normales d'une véritable démocratie, à savoir que son vote puisse être secret, libre, et sincère, sans pression de personne ou de groupe.


Aussi sur le blog.

Sylvain Rakotoarison (27 avril 2024)
http://www.rakotoarison.eu


Pour aller plus loin :
Il y a 20 ans, l'élargissement de l'Union Européenne.
La convergence des centres ?
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45 réactions à cet article    


  • Sirius Brutus 1er mai 08:48
    Il y a 20 ans, l’élargissement de l’empire américain

    • Sirius Brutus 1er mai 08:59

      @Brutus

      ... et de son bras armé, l’OTAN


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 1er mai 13:05

      @Brutus

      Il y a 20 ans environ, sortait ce livre (quasi introuvable aujourd’hui)  :
      « Le collectif de l’Union européenne : ennemi de ses États membres : une étude sur la stratégie russe et allemande pour achever la révolution mondiale de Lénine » de Christopher Edward Harle Story.

      Comme quoi ... ^^


    • chantecler chantecler 2 mai 09:52

      @Brutus
      Avec l’Allemagne qui impose sa politique, son système, sa population , ses médias , et ses dirigeants/représentants , à tous avec la bénédiction des US , de l’UK , et de ses « alliés » ! et qui semble vouloir nous replonger dans un conflit mondial !
      Il semble qu’il y ait un malentendu sur l’issue du dernier .
      Surtout depuis la « réunification »
      Le culot et les structures économiques et financières de cette nation , ça paie !
      Et efface bien des « erreurs » ou des « folies » de l’histoire .


    • Seth 1er mai 09:00

      Tout va aller mieux pour rakoko : Paul Auster a eu la bonne idée de casser sa pipe ! smiley


      • Seth 1er mai 09:09

        @Seth

        Oups... j’ai vendu la mèche, y aura plus de surprise. j’aurais pas du. smiley


      • vaietsev1 1er mai 10:54

        @Seth
        Chez les privilégiés TEL les militants de l’agora ,il ne sera jamais question de cassez sa pipe ,d’abord car l’on vis en privilégié en ce marché ,en effet on est le marché.dont acte il n’y a pas de question à cassez sa pipe .Par contre ,on se permet d’étaler sa richesse car on est le marché ,un peu comme les américains et ses parisiens du show biz ,en effet on ne travaille pas à savoir les choses ni même on lis à savoir un auteur .que nenni on les sait sans même les avoir lu comme on sait leur bibilographie sans même avoir lu un seul de leur roman .C’est aussi valable pour les citations à la con ,comme cassez sa pipe .Ceci dis celui que vous nommez Paul Auster est juste un républicain du monde d’avant ,non celui d’aujourd’hui celui qui pourrait appartenir en devenir à des sales gueules de cons de gros rouge sang qui parce qu’ils sont très cons sont le privilège de la belle et des belles ,en effet d’abord d’abord car Dieu sait ce que femme veut .Et c’est pas comme si vous les gros connards rouges ,vous n’aviez pas passez les années 1990-début des années 2000 dans les territoires à tout prendre avant de renverser la vapeur comme on dis ,de façon à ce que tout vous appartienne et vous revienne comme le fait de vous faire républicains .
        L’image des républicains serait bien abimé si ça devait arrivé car on a jamais vu de gros cons de rouge sang la cartouchière pleine et de gauche sociale ,en devenir demain républicain ,sauf si vous marchez avec les étrangers ,ce qui dois être le cas ,car même pour des européens ou français de couleur blanche ,né en france et vivant en france ,nous ne savons pas dis ,que malgré la couleur de peau des européens qui est le blanc tout comme celle des français ,nous ne savons pas malgré ça que vous êtes des étrangers,comme d’un autre monde ,avec aucun mérite à être exceptionnel si ce n’est car vous trichez chaque jour à être exceptionnel.
        Preuve en est ,l’un des votres ,poutine triche ,et vous lui en voulez alors que vous êtes comme lui ,vous trichez .
        Question .Malgré votre défense en soutien de ceux qui ont rien ...défense en loucedé et en monde sous marin à discutaillez entre vous dans l’intime sur le site plus que politique agoravox ,avez vous un quelconque intérêt pour ceux qui vivent sans magie aucune ,ou voulez vous vous faire passez pour en effet de bonnes gentes et gens de gauche ?!!
        NON ,on est d’accord ,donc fermez vos grandes bouches de parasites du marché ,plus encore lorsqu’on dis que Raphael GLUCKSMAN est en aucun cas de gauche.
        C’est le jeu ,chacun s’occupe comme il le peut ,et comme chacun s’ennuie on remplis toujours un peu plus sa cartouchière jusqu’a aujourd’hui pillez volez des identités avant même le décès des petites gens qui se grandissait .
        Une chose est sûr ,en agisant comme ça ,je fais le constat que le système est plus qu’incompétent ,en effet .

        Vassily .amusez vous la bien Seth (cesse sept !! ,ah ah ) Pourquoi l’avatar Seth devrait cessez alors qu’il est celui qui ssassine et détruis des vies car monsieur fils de personne est le marché ,alors arrivé dont on ne sait de quel monde !!!!
        Et on appel ce monde ,un monde parfait comme le chantait « des innocents enfants ,les innocents » .ha ha .un monde raté serait plu approprié.


      • vaietsev1 1er mai 10:58

        @vaietsev1
        Seth devrait cessez alors qu’il est celui qui yassassine et détruis des vies car monsieur fils de personne est le marché ,alors arrivé dont on ne sait de quel monde !!!!

        Vassily


      • Seth 1er mai 11:49

        @vaietsev1

         ???????.... smiley


      • Durand Durand 1er mai 09:09

        Il y a ceux qui aiment se faire élargir et approfondir et il y a ceux qui moinssent les articles de Rakoto… Rien de nouveau.

        ..


        • Gégène Gégène 1er mai 09:12

          l’Europe, c’est refuser de se laisser appartenir à la Chine, à la Russie ou même de s’aligner docilement sur les États-Unis

          Admettons . . .

          Mais essayons d’imaginer « s’aligner docilement sur les USA »

          Essayons smiley


          • Durand Durand 1er mai 10:13

            @Gégène

            En droit international et à fortiori, national, les traités européens placent l’UE en complète soumission vis-à-vis des États Unis…

            Rappel :

            – Art42 du Traite d’Union Européenne (TUE)

            « La Politique de Sécurité et de Défense des états membres […] est compatible [doux euphémisme] avec le cadre du Traité de l’Atlantique Nord. »

            … Article modifiable uniquement à l’unanimité des états membres… Autant dire JAMAIS !

            Un adieu pur et simple à la défense des intérêts français à travers le monde !

            ..


          • Sirius Brutus 1er mai 10:19

            @Durand

            le « droit international » n’existe pas
            aucune assemblée légitime n’a promulgué des lois qui n’existent d’ailleurs pas
            ce qu’on appelle droit international", c’est la règle du jeu imposée par les Etats-Unis et l’URSS à Yalta
            or, l’un des deux contractants ayant disparu, le contrat, qui était en fait une entente, devient carrément léonin


          • mac 1er mai 11:10

            @Brutus
            En plus celui qui est resté n’a eu de cesse que de le violer ce soi-disant droit international, mais quand c’est lui, visiblement, on ne lui en veut pas...


          • Durand Durand 1er mai 17:03

            @Brutus

            Les articles aussi primordiaux que l’art 42 du TUE s’appliquent à 100% à tous les états membres, que vous le vouliez ou pas. Cet article, à lui tout seul, est un déni de souveraineté et donc, de démocratie.

            D’autre part, c’est la Russie qui a récupéré les principaux traités signes par l’URSS ainsi que sa place au conseil de sécurité de l’ONU. Tout a été fait conformément au droit international actuellement en vigueur.

            ..


          • mac 1er mai 10:18

            Ah !Ah !

            La phrase de Delors en introduction est vraiment impayable, quand on voit ce qu’est devenue l’UE. « s’aligner docilement sur les Etats-unis », c’est pas ce que l’on fait de plus en plus ?

            Et en plus, on n’est pas rancunier quand manifestement ils nous mettent à terre pour leur intérêt le plus évident (cf nord stream...)


            • Sirius Brutus 1er mai 10:21

              @mac

              pas rancuniers, peut-être, mais masos sûrement, à moins que « nous » ne soyaons pas vraiment acteurs dans dans ce jeu où « ils » tiennent « nos » dirigeants en laisse


            • mac 1er mai 10:24

              Rakoto ressemble à une OPA de macronistes sur AVX, maintenant, il a les votes assurés pour publier quotidiennement ses articles, quasiment toujours dans la ligne du gouvernement.

              Chapeau !


              • Seth 1er mai 10:39

                @mac

                Ce n’est pas complètement négatif même si ça fait un peu monter la tension : ça énerve et ça réveille. smiley


              • mac 1er mai 11:08

                @Seth
                ça énerve presque autant qu’un discours de qui vous savez...


              • Seth 1er mai 14:21

                @mac

                Vous me faites penser...

                Rakoko n’a rien rien trouver à célébrer quand qui vous savez est allé pontifier à la Sorbonne... Etonnant n’est il pas ? smiley


              • Parrhesia Parrhesia 1er mai 11:39

                Hé bien ! Si monsieur Delors a réellement dit cela le 6 décembre 2021, c’est-à-dire alors que l’impéritie et les nocivités européennes étaient déjà amplement démontrées, il a perdu une bonne occasion de se taire !


                • Seth 1er mai 11:53

                  @Parrhesia

                  Il avait déjà 96 ans alors à cet âge-là.... smiley


                • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 1er mai 14:01

                  Lire

                  Paris 2024 et Berlin 1936 au service d’un impossible rêve impérial

                  Extraits : « La comparaison est choquante : l’organisation des Jeux olympiques de Paris 2024 reprend des artifices de propagande de ceux de Berlin 1936. Elle s’explique pourtant : le président Emmanuel Macron, comme le chancelier Adolf Hitler, poursuit la mise en œuvre du même projet de « Nouvel ordre européen ». À la différence de celui-ci, il s’y prend de manière pacifique, mais comme lui, il échouera parce que, comme lui, il méprise les peuples. En outre, son projet est dépassé : il ne correspond plus aux structures des organisations de l’époque numérique.

                  « ...

                  « • Le 30 novembre 2022, le Conseil européen (c’est-à-dire les chefs d’État et de gouvernement) lista les 18 mesures proposées par le panel de citoyens (la Conférence sur l’avenir de l’Europe) nécessitant une révision des Traités (ST 10033 2022). Cela va de « garantir de manière obligatoire dans l’ensemble de l’UE la création de jardins d’enfants à des prix abordables et de services de garde d’enfants gratuits » à… « passer de l’unanimité au vote à la majorité qualifiée au Conseil européen », c’est-à-dire priver les États-membres de leur souveraineté.

                  « ...

                  « Le professeur de droit Walter Hallstein conçut le « Nouvel ordre européen » que le chancelier Adolf Hitler tenta de réaliser. Son idée était de fédérer les différents États européens autour d’une Allemagne élargie à tous les territoires de peuples germanophones. Par la force du nombre, Berlin aurait alors gouverné l’Europe. Walter Hallstein n’était probablement pas nazi, mais il fut choisi pour négocier ce projet avec le duce Benito Mussolini. En 1958, il devint le premier président de la Commission européenne, preuve que les États-Unis et le Royaume-Uni avaient adopté, pour leur compte, le « Nouvel ordre européen », une fois l’Allemagne écrasée. C’est pourquoi, au début de cet article, je notais la ressemblance des intentions du président Macron pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 avec celles du chancelier Adolf Hitler pour les Jeux de Berlin 1936. Dans les deux cas, il s’agit d’une manipulation de masse au service d’un impossible rêve impérial. »

                  Thierry Meyssan Réseau Voltaire | Paris (France) | 30 avril 2024


                  • ETTORE ETTORE 1er mai 22:25

                    Alleeeeez Rakoto...

                    Dites nous la vérité, alleeeez...Soyez sympa !

                    Vos salaires, que vous verse votre commanditaire ( sans patrie-moine, mais avec tonsure et moumoute ), vous le placez bien dans ce trou, situé merveilleusement bien au CENTRE, de tous ces pays que vous colorez de ce beau bleu marial, SAUF, SAUF, celui là, si trou, et qui pourtant ne sert pas à accrocher les torchons sales .

                    Un égout de captation  ?


                    • Jean Claude Massé 2 mai 08:23

                      Roko est de ceux qui ont appris il y a 25 ans à faire des beaux power point pour enfumer l’auditoire dans les entreprises pour mieux vendre le néo capitalisme.

                      Ca marche plus très bien, il ne va plus être rentable pour ceux qui le paient. 


                      • lol, lol,lol.......................

                        qactus.fr
                        France : Nicolas Sarkozy aurait omis de signer la ratification du Traité de Lisbonne, c’est l’analyse de Patrice André, avocat et ancien président de tribunal administratif et de cour administrative d’appel

                        Nicolas Sarkozy aurait omis de signer la ratification du Traité de Lisbonne, c’est l’analyse de Patrice André, avocat et ancien président de tribunal administratif et de cour administrative d’appel

                        Publié le 2.5.2024

                        Vrai ou Faux ? Quand un juriste vous explique que le « décret de ratification » du Traité de Lisbonne n’aurait pas été signé !!!

                        Une récente découverte suggère que l’ancien président français Nicolas Sarkozy aurait omis de signer la ratification du Traité de Lisbonne, ce qui remet en question la validité de l’adhésion de la France à l’Union européenne. Patrice André, avocat et ancien président de tribunal administratif et de cour administrative d’appel, a analysé les conséquences possibles de cette situation.

                        Selon Patrice André, la ratification du Traité de Lisbonne est une étape cruciale dans le processus d’adhésion à l’UE. En l’absence de la signature de Nicolas Sarkozy, la validité de l’adhésion de la France à l’UE pourrait être remise en question. Cela pourrait avoir des conséquences importantes sur la participation de la France aux institutions européennes et sur son accès aux fonds européens.

                        Cependant, Patrice André souligne que la ratification du Traité de Lisbonne a été approuvée par le Parlement français en février 2008, ce qui signifie que la France a officiellement adhéré à l’UE. Il est donc peu probable que la découverte de l’absence de signature de Nicolas Sarkozy ait des conséquences immédiates sur la participation de la France à l’UE.

                        P


                        Patrice André note également que cette découverte soulève des questions importantes sur la responsabilité des dirigeants politiques dans le processus d’adhésion à l’UE. Il est essentiel que les dirigeants politiques respectent les procédures établies et s’assurent que tous les documents nécessaires sont signés et approuvés correctement.

                        En conclusion, selon Patrice André, bien que l’absence de signature de Nicolas Sarkozy sur la ratification du Traité de Lisbonne puisse sembler surprenante, il est peu probable que cela ait des conséquences immédiates sur la participation de la France à l’UE. Cependant, cette découverte souligne l’importance de la responsabilité des dirigeants politiques dans le processus d’adhésion à l’UE et la nécessité de respecter les procédures établies.

                        « Mini-traité » européen : La Constitution par la force

                        La victoire massive du » non » lors du référendum du 29 mai 2005 pouvait laisser penser que la voix des Français serait entendue et respectée.

                        Ce n’est pas le cas ! Le prétendu » mini-traité » de Lisbonne n’est, en effet, rien d’autre que la Constitution de 2005, réaménagée et présentée de telle façon que les citoyens non avertis ne puissent se rendre compte du subterfuge.

                        Destiné à être ratifié sans véritable débat par le Parlement, dans la précipitation, le texte sera ainsi imposé malgré tout à la France, deux ans à peine après son rejet par le peuple. Dira-t-on que cette présentation est excessive ?

                        C’est pourtant l’ancien Président de la République, M. Valéry Giscard D’Estaing, qui déclarait lui-même, lucidement et par anticipation. en parlant à cet égard d’une » trouvaille » :  » Cette démarche est peut-être un bon exercice de présentation. Mais elle confortera les citoyens européens dans l’idée que la construction européenne est une machinerie organisée dans leur dos par des juristes et des diplomates » (Le Monde du 14 juin 2007). Percutant et unique dans cette période de désinformation sans précédent, le présent ouvrage démontre de manière irréfutable la réalité d’une telle » machinerie « . En effet, le nouveau traité ne se différencie en rien du projet de Constitution de 2005 (au point que chacune de ses dispositions a son pendant. au mot près, dans le projet de 2005).

                        Il aboutirait, s’il était ratifié, non seulement à une dissolution définitive de la souveraineté de la France. Mais aussi à une subversion de la notion même d’Europe, au profit d’un projet utopique. volontairement caché au plus grand nombre.

                        La vidéo complète sur le site de l’UPR, ci-dessous :

                        Non à la guerre ! – Réunion Publique de François Asselineau – Orange, le 29 février 2024

                        Sauvegarde des 2 vidéos concernées ici :


                        • @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

                          La misère politique ,
                          La totalité des cons qui habitent en France vont au-delà de 1963 ;
                          -Les cons ça ose tout...En plus ils gouvernent !




                        • Au-delà du gouffre des cons ... Le CRIF

                          Le CRIF donnait des ordres aux ministres français en 2015, et personne n’a bronché ?

                          Elisabeth Levy révélait sur France Info que le CRIF donnait des ordres aux ministres français. Cette scène surréaliste soulève des questions légitimes sur le pouvoir et l’influence de cette association pro-israélienne en France.

                          Nous sommes 2015, sur les ondes de France Info, une scène pour le moins surprenante se déroule sous les yeux des auditeurs médusés. La journaliste Elisabeth Levy interpelle alors Richard Prasquier, ex-président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), au sujet d’un événement pour le moins surprenant. Elle fait référence à une scène où le président du CRIF de l’époque, Roger Cukierman, donnait des ordres aux ministres en exercice, qui acceptaient sans broncher de se faire réprimander.

                          « J’ai vu le président du CRIF donner des ordres aux ministres et les ministres acceptaient de se faire engueuler… », a raconté Elisabeth Levy.


                          • Entre la Présidence YoYo de Sarkozy , la présidence de cet infecte parjure de Hollande ...

                            La France et surtout les français se sont fait mettre par Attali et sa tartiflette, Macron ...


                            • Voiture électrique : la panne au tournantLa Cour des comptes européenne étrille la stratégie de l’UE. Ou plutôt l’absence de stratégie. De fait, l’interdiction des moteurs thermiques neufs en 2035 a été décidée sans réelle étude d’impact.

                              Sur la voiture électrique, tout montre qu’en Europe on va droit dans le mur. Mais pour l’instant rien ne semble faire dévier l’Union européenne de sa trajectoire : tout à son objectif de viser la neutralité climatique en 2050 (dont les contours nous plongent dans un abîme de perplexité : de quelle neutralité parle-t-on ? A la construction ? A l’usage ? Un bout ou l’ensemble de la chaine ? ), Bruxelles a interdit la vente en 2035 des voitures à moteur thermique neuves.

                              Et tant pis si l’édifice est pour le moins fragile. De par ses bases d’abord : aucune étude d’impact spécifique 1 n’a été menée avant de décider de réserver la voie aux véhicules électriques. De la sorte que l’UE a décidé de tirer un trait sur les voitures essence et diesel sans vraiment se poser la question d’une alternative, avec qui, avec quoi, et surtout à quel niveau et avec quels impacts.

                              A ce stade, on oublie les hybrides rechargeables qui remettent le Dieselgate au goût du jour. La motorisation a été classée dans la catégorie faibles émissions alors que l’écart moyen entre émissions mesurées en laboratoire et celles constatées sur la route est de l’ordre de 250 %… Ce n’est pas nous qui le disons mais la cour des comptes européenne qui, dans un nouveau rapport sur la thématique 2 est pour le moins sceptique quant à la voie tracée par les institutions européennes et les Etats membres sur la façon de juguler dans le secteur des transports les émissions carbone.

                              A lire le rapport et surtout écouter les auditeurs de la Cour, il n’y aurait pas vraiment d’alternative si on veut baisser les émissions de CO2. Le secteur des transports détient le bonnet d’âne et, rien à faire, les voitures étant de plus en plus grosses et les moteurs de plus en plus puissants, tout progrès en matière d’émissions polluantes gagnées d’un côté est immédiatement perdu de l’autre.

                              https://eclaireur.substack.com/p/voiture-electrique-la-panne-au-tournant


                              • Eric F Eric F 2 mai 14:13

                                @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
                                Eh oui, en 2035 on ne fabriquera plus ni ne vendra de voiture thermique en Europe ...mais on en importera d’occasion de pays tiers.


                              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 2 mai 14:36

                                @Eric F
                                 
                                 ’’Eh oui, en 2035 on ne fabriquera plus ni ne vendra de voiture thermique en Europe ...mais on en importera d’occasion de pays tiers.’’
                                >
                                Possible. Gros trafics en vue.
                                À moins que la douane les saisissent, ou les préfectures ne leur délivrent pas de cartes grises, ou encore que les assurances refusent de les assurer.


                              • En France des Irma Grese, il y en a , à tous les niveaux , des milliers petites & grandes ....

                                La cruauté se niche dans tous les vêtements et se propage par la bouche des psychopathes .

                                https://www.off-investigation.fr/censures-a-france-televisions-ernotte-a-t-elle-menti-sous-serment/

                                Fin janvier, la direction de la télé publique a fait interrompre une enquête sur la nouvelle ministre de la culture Rachida Dati et annulé la rediffusion d’une autre sur Alexis Kohler. Officiellement, Delphine Ernotte "suspend les portraits politiques durant les européennes". Mais en coulisses, elle manoeuvre pour être nommée à la tête d’une holding de l’audiovisuel public. 

                                Le 25 janvier 2024, Le Monde révélait qu’Alexandre Kara, directeur de l’information de France Télévisions, avait demandé aux équipes des magazines d’info de “faire une pause dans leurs investigations concernant les portraits de responsables politiques d’ici aux élections européennes”, qui auront lieu le 9 juin prochain. 

                                Les journalistes concernés ? Ceux de “13h15“ mais aussi d’“Envoyé Spécial“ et de “Complément d’enquête“, magazines respectivement présentés par Laurent Delahousse, Élise Lucet et Tristan Waleckx. Selon

                                Le Monde, rien que pour “Complément d’enquête”, ce “moratoire” imposé par la direction de France Télévisions aboutit à reporter notamment les portraits envisagés du premier ministre, Gabriel Attal, mais aussi de la ministre de la culture, Rachida Dati. Même la rediffusion d’un “Complément” sur Alexis Kohler, Secrétaire général de l’Élysée et bras droit d’Emmanuel Macron (initialement diffusé en mars 2023 et qui devait être rediffusé mi-février), est reporté sine die.


                                • ETTORE ETTORE 2 mai 09:43

                                  @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
                                  .......
                                  Si ils osent toutes ces prévarications, c’est qu’ils ont déjà le cul vissé, sur leur trône.
                                  Et la meilleure solution, pour les faire partir avec la chasse d’eau, c’est de donner la voix à TOUT ce qui prône la sortie de cette caca-phonie infecte, appelée Your Hope !
                                  Même, même, les plus à droite, ne sont plus que les prémices d’une CONgratulation d’accords, encore plus détestables avec cette supra-identité qui se développe comme un blob incurable !
                                  ( voir l’absurdie Méloni, avec La hyène, et Bidette.
                                  La mutante Fn, pas mieux avec son avatar jeuniste. ).


                                • tashrin 2 mai 12:24

                                  « Pour tous nos pays, appartenir aujourd’hui à l’Europe, c’est refuser de se laisser appartenir à la Chine, à la Russie ou même de s’aligner docilement sur les États-Unis. C’est refuser que notre continent de nouveau se divise et laisse son destin lui échapper. » (Jacques Delors, le 6 décembre 2021).

                                  Vachement réussi


                                  • Eric F Eric F 2 mai 14:10

                                    En réalité, ces élargissements ont été une connerie historique, car ils se sont effectués au détriment des pays fondateurs de l’Union, ils ont conduit à des délocalisation et au financement du développement de pays concurrents ayant de moindre couts de production. Il suffit de constater que notre économie n’a cessé depuis lors de s’éroder, et note déficit commercial de se creuser (comme l’Italie, Espagne ou encore Belgique). Les Allemands en ont en partie profité avec leurs niches économiques, mais ça bat de l’aile.

                                    En outre, cette ’’marche vers l’Est’’ nous a mis en situation de risque de conflit militaire qui n’existait pas au sein de l’Europe des 6, 9, 12 voire 15.

                                    Le pire est à venir, si on intègre les ’’pays candidats’’, au système économique et politique corrompu, et appartenant pour certain au ’’monde russe’’ historique, ce qui accentue les tensions géopolitiques.

                                    Tout ça avec des slogans du genre ’’défense de la démocratie’’ ou ’’solidarité avec nos frères européens’’, alors que les affairistes ont cherché des producteurs à moindre cout et des parts de marché. Franchement, qu’est-ce que ça change pour nous qu’une Hyunday soit fabriquée en Slovaquie plutôt qu’en Corée ?


                                    • ETTORE ETTORE 2 mai 16:44

                                      @Eric F
                                      «  »«  »Le pire est à venir, si on intègre les ’’pays candidats’’, au système économique et politique corrompu, et appartenant pour certain au ’’monde russe’’ historique, ce qui accentue les tensions géopolitiques.

                                      «  »«  »
                                      ......
                                      ...Il est pourtant très facile de constater, que ces pays en devenir « Your Hope », et tous issus de l’ancien monde RUSSE, ont tous un fondement de corruption, d’affairisme d’entre soi, des plus singuliers, hérité et formaté, par dieu le Père Rouge, à la faucille et au marteau.
                                      Mais, même avec un pédigrée aussi malfamé, il y a tant des gorges chaudes, qui réclament à corps et à cris, l’avènement de pareils infra-tricides, à sein de cette ronde familiale déjà grandement décadente.
                                      Alors, pour l’original pater noster de ces pratiques, c’est....Ouhhhh, le mauvais !
                                      Mais, les enfants légitimes de cette fornication.....Ouiiiiii, on les veut !
                                      Sommes nous devenus des cerveaux à Procréation Merdiquement Assistés ?


                                    • Eric F Eric F 2 mai 20:04

                                      @ETTORE
                                      L’objectif affiché est de détacher ces vassaux de leur ancien suzerain, de telle sorte qu’ils se convertissent aux vertus démocratiques et à une économie de concurrence libre et non faussée. C’est tellement beau qu’on en a des larmes d’émotion sur les plateaux de LCI et BFM.


                                    • https://twitter.com/Georgette8751/status/1786084254998319495

                                      À QUI PROFITE L’ ?

                                      Aux banquiers, Financiers, Gds groupes, Gdes entreprises, Lobbies, Actionnaires, Millionnaires, Milliardaires, …

                                      Tous ceux qui s’enrichissent par le libre échange, l’économie de marché, la rentabilité, le commerce au niveau international.


                                      • zygzornifle zygzornifle 3 mai 09:38

                                        Merci d’avoir retiré mon commentaire qui disait que pour l’instant l’UE nous élargissait le sous bassement ....


                                        • zygzornifle zygzornifle 3 mai 09:40

                                          l’Europe est un fléau qui en nous appauvrit et nous coupe de toute notre identité, l’UE est entre les mains de dictateurs et de bureaucrates plus incompétents les uns que les autres....


                                          • zygzornifle zygzornifle 3 mai 14:31

                                            DE J-J ROUSSEAU :

                                             

                                            QUAND UN PEUPLE NE DEFEND PLUS SES LIBERTES ET SES DROITS IL DEVIENT MUR POUR L’ESCLAVAGE !!!


                                            • Maître Yoda Maître Yoda 5 mai 10:31

                                              « L’enjeu de l’Union Européen reste historique et est une construction originale et inédite dans l’histoire des nations car elle se fait à la fois selon la volonté de chaque peuple qui la compose et avec la force d’une unité qui en fait un bloc incontournable dans la planète, avec cette devise très significative : unis dans la diversité. L’Union Européenne du 1er mai 2024 est un bloc humain peuplé de 450 millions d’habitants sur une superficie de 4,2 millions de kilomètres carrés, troisième puissance mondiale en PIB nominal après les États-Unis et la Chine.

                                              Elle n’est pas parfaite, elle a beaucoup de défauts, mais c’est parce que cette construction s’est toujours faite avec la volonté des peuples qu’elle se réalise très lentement. Elle est l’anti-modèle des autocrates au pouvoir de toute obédience, et à ce titre, elle est dénigrée par tous ceux qui refusent les principes de démocratie, liberté, égalité, laïcité. C’est pour cela qu’il faut précieusement conserver cette organisation et la faire vivre avec le plus de démocratie possible. Car on l’oublie un peu trop souvent : le citoyen européen a la chance et le privilège de pouvoir voter dans les conditions normales d’une véritable démocratie, à savoir que son vote puisse être secret, libre, et sincère, sans pression de personne ou de groupe. »

                                              Quel baratin insipide et dystopique !


                                              • agent ananas agent ananas 5 mai 19:03

                                                Selon Bruno Le Maire ce n’est pas un élargissement mais une dilatation ...

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