• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Jean-Paul Foscarvel

Jean-Paul Foscarvel

Cadre "de base" en entreprise et auteur de textes divers, nouvelles et pièces de théâtre.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/04/2008
  • Modérateur depuis le 05/07/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 89 768 2830
1 mois 2 17 32
5 jours 0 2 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 173 147 26
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 28 mai 19:40

    Le PS est entré définitivement dans la lutte anti-sociale au service de la ploutocratie.

    RG est le symbole de ce parti, ultralibéral, européeiste, technocratique, belliciste, atlantiste, aux ordres de l’oligarchie, du capitalisme immatériel, de la big pharma, des Gafas, contre la population, les paysans, les ouvriers ou ce qu’il en reste, les classes moyennes en voie de paupérisation.

    Détruire le patimoine populaire, détruire les solidarités, détruire les services publics, détruire la santé, l’éducation, les transports, la sécurité sociale, et tout donner au privé.

    Imposer un modèle au monde et faire la guerre aux pays qui contestent l’ordre étatsunien, faire le leçon aux autres en même temps que l’on ferme les yeux sur un génocide, et à la fin interdire toute expression divergente de la doxa ultra-libérale.

    C’est ce que représente RG, fils de son père, anti-communiste absolu, qui poursuit l’oeuvre de désocialisation de l’humanité. Il est l’équivalent de Nuland en France.

    Il n’y a désormais plus d’écart entre le PS et les macroniens, l’affaire est entendue.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 28 mai 17:17

    Cette élection ne changera rien dans la mesure où le parlement ne sert quasiment à rien.

    Même si un déferlement de voix par exemple pour l’UPR, a lieu, cela n’aura aucune influence sur le fonctionnement de l’UE. Cela pourra peut-être avoir des répercutions en France. La seule utilité du vote est d’envoyer un message à nos dirigeants, qui seront incapables de le décrypter.

    Tous ceux qui disent « une Europe plus humaine, plus verte, plus joyeuse, plus pacifique, plus ouverte, plus animalière, plus responsable, plus sociale, plus sociétale, plus guerrière, plus armée, plus sécurisée, plus fermée, plus surveillée, plus sévère, plus prospère, plus anti-sociale, plus compétitive, plus innovante, plus technologisée, etc. » sont des bonimeuteurs. C’est la Commission qui décide, point barre.

    Les raisons fondamentales en sont que d’une part le palement n’a aucune possibilité d’initiative : il approuve ou rejette les textes issus de la Commision et seulement d’elle et d’autre part l’approbation se fait à la majorité simple et le rejet à la majorité des inscrits. C’est une chambre d’enregistrement.

    Il est quasiment impossible que le parlement rejette une proposition de la Commission. Il n’y a aucun caractère démocratique dans la procédure d’adoption du Parlement qui est un vrai labyrinthe.

    Voici la procédure (traité sur le fonctionnement de l’UE) :

    "Article 294

    (ex-article 251 TCE)

    1. Lorsque, dans les traités, il est fait référence à la procédure législative ordinaire pour l’adoption d’un acte, la procédure suivante est applicable.

    2. La Commission présente une proposition au Parlement européen et au Conseil.

    Première lecture

    3. Le Parlement européen arrête sa position en première lecture et la transmet au Conseil.

    4. Si le Conseil approuve la position du Parlement européen, l’acte concerné est adopté dans la formulation qui correspond à la position du Parlement européen.

    5. Si le Conseil n’approuve pas la position du Parlement européen, il adopte sa position en première lecture et la transmet au Parlement européen.

    6. Le Conseil informe pleinement le Parlement européen des raisons qui l’ont conduit à adopter sa position en première lecture. La Commission informe pleinement le Parlement européen de sa position.

    Deuxième lecture

    7. Si, dans un délai de trois mois après cette transmission, le Parlement européen :

    a) approuve la position du Conseil en première lecture ou ne s’est pas prononcé, l’acte concerné est réputé adopté dans la formulation qui correspond à la position du Conseil ;

    b) rejette, à la majorité des membres qui le composent, la position du Conseil en première lecture, l’acte proposé est réputé non adopté ;

    c) propose, à la majorité des membres qui le composent, des amendements à la position du Conseil en première lecture, le texte ainsi amendé est transmis au Conseil et à la Commission, qui émet un avis sur ces amendements.

    8. Si, dans un délai de trois mois après réception des amendements du Parlement européen, le Conseil, statuant à la majorité qualifiée :

    a) approuve tous ces amendements, l’acte concerné est réputé adopté ;

    b) n’approuve pas tous les amendements, le président du Conseil, en accord avec le président du Parlement européen, convoque le comité de conciliation dans un délai de six semaines.

    9. Le Conseil statue à l’unanimité sur les amendements ayant fait l’objet d’un avis négatif de la Commission.

    Conciliation

    10. Le comité de conciliation, qui réunit les membres du Conseil ou leurs représentants et autant de membres représentant le Parlement européen, a pour mission d’aboutir à un accord sur un projet commun à la majorité qualifiée des membres du Conseil ou de leurs représentants et à la majorité des membres représentant le Parlement européen dans un délai de six semaines à partir de sa convocation, sur la base des positions du Parlement européen et du Conseil en deuxième lecture.

    11. La Commission participe aux travaux du comité de conciliation et prend toute initiative nécessaire en vue de promouvoir un rapprochement des positions du Parlement européen et du Conseil.

    12. Si, dans un délai de six semaines après sa convocation, le comité de conciliation n’approuve pas de projet commun, l’acte proposé est réputé non adopté.

    Troisième lecture

    13. Si, dans ce délai, le comité de conciliation approuve un projet commun, le Parlement européen et le Conseil disposent chacun d’un délai de six semaines à compter de cette approbation pour adopter l’acte concerné conformément à ce projet, le Parlement européen statuant à la majorité des suffrages exprimés et le Conseil à la majorité qualifiée. À défaut, l’acte proposé est réputé non adopté.

    14. Les délais de trois mois et de six semaines visés au présent article sont prolongés respectivement d’un mois et de deux semaines au maximum à l’initiative du Parlement européen ou du Conseil.

    Dispositions particulières

    15. Lorsque, dans les cas prévus par les traités, un acte législatif est soumis à la procédure législative ordinaire sur initiative d’un groupe d’États membres, sur recommandation de la Banque centrale européenne ou sur demande de la Cour de justice, le paragraphe 2, le paragraphe 6, deuxième phrase, et le paragraphe 9 ne sont pas applicables.

    Dans ces cas, le Parlement européen et le Conseil transmettent à la Commission le projet d’acte ainsi que leurs positions en première et deuxième lectures. Le Parlement européen ou le Conseil peut demander l’avis de la Commission tout au long de la procédure, avis que la Commission peut également émettre de sa propre initiative. Elle peut également, si elle l’estime nécessaire, participer au comité de conciliation conformément au paragraphe 11."



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 mai 17:01

    Les mythes de l’UE, démocratie, paix, État de droit, prospérité, sont en train de s’effondrer les uns après les autres.

    Ce crime est tout simplement le remplacement de l’État de droit, avec des relations internationales basées sur le droit, par un État mafieux, avec des relations internationales régies par des règles, comme avec la mafia, celles-ci étant définies par l’État le plus fort. La règle principale d’un système mafieux est l’Omerta, et celui ou celle qui enfreint cette règle est puni de mort. L’autre règle est celle du consensus, c’est-à-dire l’accord imposé par le plus fort. De la même manière, ceux qui l’enfreignent sont punis de mort.

    Voilà où en est l’Occident, mais au lieu de rassembler, un tel comportement, délibéré, presque en en mode ouvert, ne fait que repousser ce que j’appellerais désormais l’Autre-qu’occident, ceux qui finissent par être révulsés de ces façons mafieuses de se comporter.

    Ce sont ces « petits » gestes qui finissent par décrédibiliser complètement l’Occident qui passe ainsi d’un modèle civilisationnel à une anti-civilisation. Ce sont des pas qui le font avancer vers son propre anéantissement.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 mai 15:27

    Le stade suivant (ultime ? Mais le système a toujours des innovations dans son sac) sera celui de l’abolition des États-nations remplacés par des entités sans aucune pouvoir.

    Le vrai pouvoir sera alors celui direct de l’oligarchie via ses entités financiaro-post-industrielles (high tech, pharma, etc.), comme BlackRock, Alphabet (Google), Pfizer, et d’autres.

    La régionalisation de l’UE est une des clefs de ce nouveau paradigme.

    Bien entendu, tout sera privatisé, y compris l’enseignement (immatériel), la police, la justice, la santé, et tout ce qui reste des services publics qui disparaîtront.

    La population n’aura d’autre choix que de se soumettre à ces entités privées, ou de disparaître physiquement.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 mai 15:13

    @C BARRATIER
    Une démocratie sanglante et meurtrière, telle que vous semblez la souhaiter, s’appelle du fascisme.
    On dirait du Netanyahou !

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv