@pemile

Le virus Ebola, lui non plus, n’a jamais été isolé. Il se passe, dans ces pays d’Afrique touchés par cette maladie appelée « Ebola », ce qui se passait en Europe lors de la tuberculose. La tuberculose était une maladie de la pauvreté, du manque d’hygiène, du manque de nutriments, du manque d’assainissement des eaux. En Afrique les différentes formes de pollution ne sont non plus pas étrangères à de nombreuses maladies (... Une enquête de l’organisme américain Health Effects Institute démontre qu’en Afrique subsaharienne, le taux de mortalité liée à la pollution de l’air est de 155 décès pour 100 000 personnes, soit presque le double de la moyenne mondiale, qui n’est que de 85,6 décès pour 100 000 personnes...)

... « La pollution atmosphérique est responsable de la mort de 1,1 million d’Africains à travers l’ensemble du continent, en 2019 ; la pollution à l’intérieur des maisons, largement alimentée par les appareils de cuisson, représente 700 000 décès, alors que l’accroissement des mauvaises conditions à l’extérieur explique en partie les 400 000 autres victimes, a constaté une équipe de chercheurs du Boston College et du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), dans des travaux publiés dans The Lancet Planetary Health. »
https://www.pieuvre.ca/2021/10/07/environnement-pollution-afrique-impact-etude/

Je n’ai jamais voyagé en Afrique et je n’ai aucune intention de le faire. Je n’ai aucune envie de me baigner dans ce monde pollué à outrance. En revanche, je ferais bien l’expérience d’être mis en présence de personnes atteintes de la grippe ou d’un coronavirus, ou de la maladie « Ebola », mais en Bretagne par exemple. Sans aucun problème. Le cas de ces jeunes marins US, lors de l’expérience de Milton Rosenau, en 1918-1919, en pleine crise de la célébrissime « grippe espagnole » doit nous interroger. Pas un seul n’a pu contracter la maladie, même après injection intra-veineuse des humeurs des malades.

Parlez moi donc de la contamination et de la propagation pemile. Vous refusez de prendre en considération la réalité. De la même façon, les grippés de l’Hémisphère Sud n’apportent jamais, au grand jamais, leur maladie en Europe lors de leur voyage dans l’Hémisphère Nord. Et l’inverse est vrai, jamais, au grand jamais, un grippé de l’Hémisphère Nord n’a pu contaminer un habitant de l’Hémisphère Sud. C’est une « simple constatation ». Les maladies respiratoires se propagent durant l’hiver dans l’Hémisphère Nord et durant l’hiver dans l’Hémisphère Sud. C’est comme ça depuis toujours. Il y a un « décalage » temporel. Et la contamination, tout comme la propagation « inter-humaine », c’est du flan, c’est de la blague, ce sont des mensonges totalement démentis par les faits.
Les gens tombent malades en même temps en Europe en hiver, du Portugal à la Suède, en passant par la France, il n’y a pas de « décalage » dans les pics de mortalité. C’est tout le monde en même temps. Ne vous en déplaise pemile !
C’est une « chape » de matières particulaires polluantes qui agressent, lorsque certaines conditions météorologiques sont rassemblées, les populations en hiver, En Australie, comme en France, mais avec un décalage d’environ 6 mois, un peu plus, un peu moins.