• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Legestr glaz

Legestr glaz

J'en pince pour vous

Tableau de bord

  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 17 10490 1954
1 mois 0 167 0
5 jours 0 50 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 531 293 238
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 22:56

    @Gollum

    Les bactéries, les toxines bactériennes, les parasites, et les produits chimiques de la bouffe industrielle, suffisent à mon bonheur en matière de gastro-entérite.

    Vous êtes trop fort pour détecter tous mes mensonges. Je vous félicite.

    (... Une gastro-entérite provoquée par une toxicité chimique peut également être observée après l’ingestion d’eau ou d’aliments contaminés par des substances chimiques, comme l’arsenic et des métaux lourds comme le plomb, le mercure ou le cadmium, ou après la consommation ou l’ingestion directe d’un produit chimique ou d’un métal. L’intoxication aux métaux lourds provoque fréquemment nausées, vomissements, douleurs abdominales et diarrhées...).

    Je blague Gollum : les virus sont partout et nous rendent malades. Tout le monde sait ça, même moi ! Parce que, à la vérité, il vaut mieux mettre les bonnes gastro-entérites sur le compte de « virus » que sur d’autres facteurs. C’est pratique ! Et puis, si l’on pense « vaccin », il y a peut être un peu de fric à se faire.

    PS : vous êtes sorti de votre corps d’amibe ? Vous ne craignez plus les « virus géants » ? Vous êtes maintenant passé à la « tourista » ?



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 22:36

    @Legestr glaz

    Suite, pour que vous ne soyez pas trop restreint en informations primordiales et vérifiables. 

    ... Milton Rosenau a terminé son article dans JAMA avec une reconnaissance révélatrice : « Nous sommes entrés dans l’épidémie avec l’idée que nous connaissions la cause de la maladie et étions à peu près sûrs de savoir comment elle se transmettait d’une personne à l’autre. Peut-être, si nous avons appris quelque chose, c’est que nous ne sommes pas tout à fait sûrs de ce que nous savons de la maladie.

    Les recherches menées à Angel Island et qui se sont poursuivies au début de 1919 à Boston ont élargi ces recherches en inoculant le streptocoque de Mathers et en incluant une recherche d’agents passeurs de filtres, mais elles ont produit des résultats négatifs similaires. Il semble que ce qui est reconnu comme l’une des maladies transmissibles les plus contagieuses ne puisse être transféré dans des conditions expérimentales.


    Je me demande bien qui pratique le « dénialisme » ?

    Et même lors de l’épisode covid19, les personnes qui tombaient malades ne transmettaient nullement la maladie à leur entourage. Parce que les personnes qui tombaient malades, à cette période de l’année 2020, alors que la pollution atmosphérique était très augmentée, étaient des personnes « déjà » malades, des personnes à l’immunité affaiblie. Les malades ne contaminent personne. Les malades respirent des particules toxiques venant de l’atmosphère. Et ces toxines aériennes émanant de la pollution atteignent les alvéoles des personnes fragilisées, pas les alvéoles des personnes au système immunitaire compétent.

    C’est d’ailleurs toujours comme ça en automnne-hiver. Il y a, certes, des épidémies de maladies respiratoires mais qui ne concernent « que » les personnes au système immunitaire amoindri. Il n’y a strictement aucune trace de « contamination » ou de « contagion ». L’augmentation soudaine de la pollution atmosphérique, lorsque certaines conditions météorologiques sont rassemblées, coïncide avec une augmentation de la mortalité par maladie respiratoire, celle provoquée par les oxydes d’azote, le dioxyde de souffre, les hydrocarbures aromatiques polycycliques, etc. Et le pic épidémique cesse « aussitôt » que le taux de pollution revient à la normale. C’est simplement « la réalité observable ».





  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 22:23

    @Eric F

    Cela vous amuse, certes, mais cela ne vous amuse plus du tout de prendre en considération la « réalité observable ».

    Si les jeunes marins de l’expérience de Rosenau n’ont pas été contaminés c’est pour une raison toute simple : les sécrétions des malades ne contenaient pas d’agent pathogène ! 
    Je sais que vous avez d’immenses problèmes avec ça, qui n’est, pourtant rien d’autre que le résultat d’une expérience. Comme vous avez un immense problème avec le fait que les virus ne nous viennent jamais de l’Hémisphère Sud. Comme vous avez un immense problème parce qu’au sein d’une même famille, seules les personnes à l’immunité affaiblie tombent malades. Et pourquoi tout ceci ? Parce que l’agent « pathogène » n’est pas « transmissible » ! L« agent pathogène, en la circonstance, est une particule polluante respirée depuis l’atmosphère, enfin, des quantité énormes de ces particules lorsque la pollution est très augmentée.

    .... Étude de la grippe à l’Université de Harvard.  »Il a été annoncé que des recherches exhaustives sur les causes, les effets et les complications de la grippe, ainsi que sur leur prévention et leur traitement, seront menées par les laboratoires de l’Université de Harvard. Ce travail a été rendu possible grâce à un don de 50 000 $ d’une société qui a subi des pertes lors de l’épidémie l’an dernier. La plus grande partie de cette somme sera utilisée par le Dr Milton Joseph Rosenau, professeur de médecine préventive et d’hygiène à la Harvard Medical School, et un corps d’assistants. La recherche se poursuivra en lien avec l’enseignement du Dr Rosenau à la faculté de médecine et les étudiants bénéficieront de ses découvertes. - Boston Medial and Surgical Journal, 9 octobre 1919 : 470.

    Résumé de l’expérience dans le rapport de santé publique

    Les études épidémiologiques les plus intéressantes menées au cours de la pandémie de 1918-1919 ont peut-être été les expériences sur l’homme menées par le Service de santé publique et la marine américaine sous la supervision de Milton Rosenau sur l’île Gallops, la station de quarantaine du port de Boston, et sur l’île Angel, sa homologue à San Francisco.

    L’expérience a commencé avec 100 volontaires de la Marine qui n’avaient aucun antécédent de grippe. Rosenau a été le premier à rendre compte des expériences menées à Gallops Island en novembre et décembre 1918. Ses premiers volontaires ont d’abord reçu une souche, puis plusieurs souches de bacille de Pfeiffer par pulvérisation et écouvillonnage dans le nez et la gorge, puis dans les yeux.

    Lorsque cette procédure n’a pas réussi à produire la maladie, d’autres ont été inoculés avec des mélanges d’autres organismes isolés de la gorge et du nez de patients grippés. Ensuite, certains volontaires ont reçu des injections de sang de patients grippés.

    Enfin, 13 des volontaires ont été emmenés dans un service de grippe et exposés à 10 patients grippaux chacun. Chaque volontaire devait serrer la main de chaque patient, lui parler à bout portant et lui permettre de tousser directement dans son visage.

    Aucun des volontaires de ces expériences n’a développé la grippe. Rosenau était clairement perplexe et il a mis en garde contre le fait de tirer des conclusions à partir de résultats négatifs.

    C’est vous Eric F qui parlez de « dénialisme » ?



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 21:47

    @Eric F

    Il ne s’agit pas d’avoir le même résultat dans différents pays. Il s’agit de soumettre simultanément 2 prélèvements, l’un venant d’un malade et l’autre d’une personne saine (prélèvement « témoin ») et d’appliquer à ces 2 prélèvements le « protocole d’isolement et de purification », c’est à dire de cultiver, in vitro, les cellules venant de ces 2 prélèvements, d’y ajouter, comme c’est le cas des cellules « Véro » (c’est à dire des cellules rénales de singes vert), d’y ajouter encore des antibiotiques, d’y ajouter encore du sérum bovin. Ensuite on compare les 2 résultats. Et, bien évidemment, les « opérateurs » ne savent pas quel prélèvement provient du malade et quel prélèvement provient de la personne saine.

    Contrairement à ce que vous « pensez » ceci n’a jamais été fait. C’est simplement anti-scientifique. Je n’ai pas écrit, à aucun moment, que « tout était trucage. Déformeriez vous de façon volontaire mes propos ? 

    Je dis et je répète que la méthode utilisée pour isoler et purifier les sécrétions de malades pour y découvrir la présence de »potentiels virus« n’est pas une méthode scientifique en ce qui concerne la purification (parce qu’ajouter des cellules rénales de singes verts, des antibiotiques et du sérum bovin, ce n’est pas vraiment »isoler« ou »purifier« . Trouvez vous que ceci a un sens ? Par ailleurs jamais aucun contrôle sur »témoin« n’a été réalisé. Si vous estimez que ceci est de la »science« et bien moi non ! 

    Quant à Milton Rosenau, voulez vous que je vous fasse lire le rapport (tout à fait disponible) écrit à cette époque et comment il s’y est pris pour »tenter« de rendre malades des personnes saines en utilisant des sécrétions obtenues auprès de malades ? On parle ici ni plus ni moins que de la »grippe espagnole« si »dévastatrice«  ! Savez qu’il a même utilisé ces prélèvement venant de malades en »intraveineuses« pour tenter de rendre malade les personnes saines ? Rien n’y a fait : aucun malade, zéro pointé. Si votre seule réplique à cette expérience c’est d’écrire : »on ne sait rien sur l’immunisation des cobayes, non vérifiable à l’époque« , c’est que vous avez de profondes lacunes. Parce que cette expérience a été menée sur de jeunes hommes de la marine américaine, pas sur des »cobayes« figurez vous ! Vous n’êtes donc pas au courant de cette expérience mais vous venez la »commenter". Ce n’est pas vraiment très glorieux.



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 15:58

    @Francis, agnotologue

    C’est bien possible, en effet, que ces « expériences contre témoin » aient été réalisées « en douce » avec des résultats qui démontrent que c’est le processus qui produit le résultat, quelque soit l’origine du prélèvement (d’un malade ou d’une personne saine).

    D’ailleurs, des biologistes indépendants se sont livrés à ce travail et leur résultat est sans appel : c’est bien le « processus » qui produit le résultat. 

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv