@GrandGuignol

Les microzymas d’Antoine Béchamp, imaginés par ce chercheur visionnaire. Ces microzymas sont aujourd’hui ce que l’on découvre sous le nom de « vésicules extracellulaires ». Ces VE sont de taille manométrique et transportent de l’information à destination des cellules. Ces VE sont formées d’un bicouche lipidique et peuvent renfermer des enzymes, de l’ADN, de l’ARN, des protéines.
Il se trouve qu’aucun microscope électronique au monde ne peut faire la distinction entre VE et « virus ». Les VE sont présentes dans tous les fluides du corps humain. Les VE sont « émises » par les cellules de l’organisme pour « communiquer » entre elles. Les VE sont éjectées par les cellules en état d’apoptose ou de nécrose. Seulement voilà, les VE sont retrouvées dans tous les prélèvements des personnes saines. C’est comme ça que les chercheurs les observent et cherchent à comprendre leurs différents rôles. Seulement ces VE ne sont « jamais » trouvées dans les préparations servant à « isoler » et à « purifier » les « virus ». C’est un véritable tour de magie. Les VE, pourtant, lors de la centrifugation extrême, de part leur taille manométrique, se concentrent dans le « surnageant », précisément là où « on trouve ce que l’on identifie être des virus » ! 

Il faut se renseigner sur ces vésicules extracellulaires. De toute manière, leur rôle est identifié comme étant de plus en plus important et il sera difficile pour la recherche scientifique de cacher cette affaire parce que les recherches sur ces VE se font de plus en plus nombreuses. Toute la « pseudo science » qui porte sur les « virus », en réalité des « artefacts » produit par un protocole non scientifique, est une duperie. Ces virus n’expliquent rien sur les maladies. En revanche, les VE expliquent beaucoup de choses. Et les agents pathogènes de la pollution atmosphérique expliquent parfaitement bien les maladies cardio-respiratoires hivernales. What else ?