@Eric F

Votre réponse apporte une confirmation que le MET ne peut pas distinguer les VE des « pseudo-virus, ces artefacts honteux.
La dernière phrase n’appartient qu’à une »théorie« pour justifier de l’existence virale. On entre dans un »imaginaire fertile« . La réplication virale n’a jamais été constatée : c’est toujours une théorie. En revanche, l’on sait que les cellules relarguent des quantités plus ou moins importantes de VE, selon les circonstances. 

Si vous aviez ouvert les liens vers les études que j’ai postées vous auriez pu y lire ce que disent les chercheurs sur les VE : le MET ne peut les distinguer des pseudo virus. C’est bien le problème. Ne venez pas poser une simple »opinion« sans vous référez aux études scientifiques sur le sujet. 

Comme l’affirme le principe du »rasoir d’Ockham, « l’explication la plus simple est à privilégier. Ce qui rend »malade« les gens se sont les matières particulaires polluantes, sachant que les plus »dangereuses« de celles ci sont les particules fines et ultrafines qui atteignent les alvéoles pulmonaires et peuvent diffuser dans la circulation sanguine altérant le fonctionnement de l’endothélium vasculaire, produisant un stress oxydatif important et, finalement, induisant un manque de transport d’oxygène. Voilà ce dont souffre les »malades« lors des épidémies de maladies respiratoires. Et les personnes qui présentent un endothélium vasculaire diminué et une balance »redox« déséquilibrée en faveur des »oxydants« sont les »victimes cibles« des matières particulaires polluantes. Ce sont elles qui développent les maladies les plus graves et/ou qui décèdent. C’est un simple constat et il ne peut être démenti par les faits. 

Les »rhumes« et les »sinusites« que vivent certaines personnes, dans certains endroits de France, en ce mois de décembre 2022, correspondent à un niveau de pollution augmentée pour des raisons météorologiques.

Il suffit de consulter le site »ventusky.com« pour avoir une idée de la pollution »flottant" sur la France (et dans le monde) en temps réel. C’est parfaitement clair.

PS : malheureusement seules les PM10 et PM2,5 sont mesurées au quotidien. Les PM1 et PM0,1, les particules fines et ultrafines, les plus dangereuses, ne sont pas comptabilisées, hélas. Elles passent sous les radars.