@Clocel
« il s’offre l’ultime moyen d’évasion, »
on va même jusqu’à lui offrir
sinon, combien seraient partis de faire lanlère s’ils n’avaient pas été bourrés ?
" De tous les envois faits aux
armées au cours de la guerre, le vin était assurément le plus
attendu, le plus apprécié du soldat. Pour se procurer du pinard, le
poilu bravait les périls, défiait les obus, narguait les gendarmes.
Le ravitaillement en vin prenait, à ses yeux, une importance presque
égale à celle du ravitaillement en munitions. Le vin a été pour
le combattant le stimulant bienfaisant des forces morales comme des
forces physiques. Ainsi a-t-il largement concouru, à sa manière, à
la victoire."
(Hommage au vin de Philippe Pétain, en
exergue d’un document publicitaire illustré par Raoul Dufy et
édité dix-sept ans après la fin de la première guerre mondiale°.
lien