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Accueil du site > Culture & Loisirs > Étonnant > L’autisme, un bonheur que je ne souhaite à personne

L’autisme, un bonheur que je ne souhaite à personne

Le 2 avril 2024, c'était Journée mondiale de la sensibilisation à l'autisme et de rappeler l'importance d'un diagnostic précoce.

Il existe beaucoup de cas de formes d'autisme. 

Le livre de Samuel Le Bihan explique ce qu'une famille peut endurer à la suite de l'autisme de son fils.

Je me permet de revenir à mon ancien copain, Alain alias Spartacus alias Sapenhine dont un des fils était soumis aux problèmes de l'autisme.

Le 1er avril, le film "Le goût des merveilles"

Ce film a été présenté sur notre antenne avec le cas d'un autisme Asperger. 

Synopsis  : Au cœur de la Drôme provençale, Louise élève seule ses deux enfants et tente de préserver l'exploitation familiale d'un verger. Un soir, elle manque d'écraser un inconnu au comportement singulier, Pierre. Celui-ci se révèle vite différent. Etrange personnage filiforme, dégingandé et rigide dans son immuable costume, avec un franc-parler, un débit vocal rapide et mécanique. Il refuse d'être soigné et ne supporte pas qu'on le touche, plein de tics et d'angoisses. Mais c'est aussi un redoutable observateur et calculateur, un prodige qui analyse tout à l'aide de son cerveau. Louise découvre peu à peu qu'il est autiste Asperger. Il se sent bien avec elle et il va l'aider pour conserver et sauver son exploitation. Le film se termine par l'amour entre eux deux.

 

Le syndrome d'Asperger

Définition  : Forme d'autisme léger (probablement d'origine neurologique sans retard mental) qui permet une scolarisation et une intégration dans la société. Le syndrome est connu depuis la fin du 20e siècle et semble souvent mal diagnostiqué. Il correspond alors à une personne à haut potentiel constituant une double exception à un HPI. Il est défini cliniquement en 1981 par Lorna Wing, à partir de la « psychopathie autistique » décrite en 1944 par Hans Asperger. Ce syndrome intègre les classifications nosographiques officielles en 1993 dans le cadre des troubles envahissants du développement (CIM-10), et en 1994 dans celui du DSM. Il est remplacé au cours des années 2010 par une approche plus évolutive des troubles du spectre de l'autisme (TSA). Le diagnostic de syndrome d'Asperger n'est plus utilisé par les médecins, et de moins en moins mentionné dans la littérature scientifique en raison du passé eugéniste de Hans Asperger. Les causes du syndrome sont majoritairement génétiques. Les recherches neurologiques ont révélé des particularités dans le fonctionnement cérébral, à l'origine de troubles sélectifs de l'empathie.

La probabilité qu'un parent, lui-même atteint d'un TSA, ait un enfant avec un TSA est de l'ordre de 10 à 20%. Ce risque de répétition élevé ne constitue cependant pas la preuve irréfutable que l'affection est héréditaire ou génétique.

Tout cela pour dire qu'on se retrouve un peu dans le flou artistique entre experts mais on y montre qu'on a beaucoup progressé dans sa prise en charge.

L'étude du cerveau est une science à part entière qui n'est encore qu'à ses début.

Une vision IRM de plus en plus précise peut faire avancer l'étude du cerveau dans beaucoup de maladies liées au cerveau.
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Le bonheur d'être différent

En 2018, j'écrivais l'article "Le bonheur d'être différent " après avoir lu le livre de Josef Schovanec, autiste Asperger.

Je l'ai lu et peut-être même relu pour en saisir ses nuances et son esprit extrêmement structuré avant d'écrire mon article en essayant de le résumer. Il n'est pas simple. 

Josef était interrogé par la presse. Il a donné d'autres références dans l'histoire qui faisaient partie de ce syndrome mais qui n'en avait pas toujours le nom. 

Tous les autistes n'ont pas ce syndrome Asperger comme lui.

Ce sont même des exceptions.

Il est important de reconnaître que chaque individu, qu'il soit neurotypique ou autiste, a sa propre expérience de bonheur et de bien-être, et que le bonheur n'est pas nécessairement déterminé par un diagnostic médical ou une condition spécifique. Il est essentiel d'apporter un soutien approprié et de respecter les besoins et les préférences de chaque personne, quel que soit son profil neurologique. 

Mais ce que vivent les familles autour d'un enfant qui soumet ses propres règles de vie, n'est certainement pas une sinécure.

3 mars, Téléfilm "Tu ne tueras point" sur FR2

Synopsis  : Ancien pénaliste de renom, Simon Marchand, n'a aujourd'hui plus la cote. Il a frôlé la radiation du Barreau. Depuis un drame familial, il ne traite plus que des affaires sans envergure. C'est en tant que pénaliste qu'il est sollicité par une femme pour défendre sa fille Elsa Sainthier, mise en examen pour infanticide, en prison depuis 18 mois. Infanticide pour avoir noyé dans un fleuve sa fille Clara, autiste et polyhandicapée qu'elle imagine souffrir de son autisme alors qu'elle souffre d'une société validiste. Murée dans son silence, elle ne montre aucune volonté de se défendre. Simon va la défendre face à la justice mais aussi face à la société et ramener doucement cette femme à l’humanité. Il plaide que Elsa a tué sa fille pour mettre fin aux « souffrances irrémédiables d'un être innocent ».

J'ai enregistré le débat qui suivait ce film

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Samuel Le Bihan qui jouait ce rôle d'avocat dans le film, était présent sur le plateau avec des parents d'enfants autistes, de médecin et d'une autiste Asperger dont on a détecté le syndrome qu'à l'âge de 25 ans. Est venu ensuite, un gérant d'une petite société qui n'occupe que des gens qui sont autistes ou avec un état d'handicap du même ordre.

 

Réflexions du Miroir 
Sur agoravox.fr, plusieurs articles parlent de l'autisme.

L'auteur "EgaliTED - AgoraVox le média citoyen" a par exemple, écrit plusieurs articles à ce sujet.

Mon copain Alain alias Asterix alias Sapenhine n'a pas écrit d'articles à ce sujet, mais il y a beaucoup participé et contribué en les commentant dès que le sujet "Autisme" y apparaissait.

Capture d'écran 2024-04-08 132121.png

Alain se définissait sur Agoravox.fr comme : "Belge, papa d'un autiste de 38 ans et d'un autre qui en a trois de plus. Romancier, essayiste et scénariste de BD, je suis ancien propriétaire-rédacteur d'un journal gratuit et non-inféodé exclusivement consacré aux nouvelles locales et à la situation politique de ma ville, Bruxelles que j'ai quitté il y a 17 ans pour aller vivre successivement dans une communauté inca en Equateur, à Cuba sans fréquenter le moindre clown du régime, en Thaïlande du nord, puis au Laos, pays de valeurs traditionnelles où je me suis beaucoup plu au contact de différentes cultures tribales. Dingue de vélo que j'ai abandonné après 120.000 km suite à un accident, je suis rentré il y a un an et trois mois en Belgique avec mon couple de bouviers des Flandres qui me console de la bêtise humaine".

Il faut ajouter qu'il est passé très vite par les Canaries où il avait pensé renouer avec son fils ainé, en lui achetant une petit maison.

Mais c'est à Madagascar qu'il a voulu fixer ses pénates de manière définitive.

Je n'ai pas scanné ses 3.148 commentaires sur agoravox. Ils étaient souvent longs et cela m'aurais pris des semaines. Nous avons aussi échangé des centaines de emails. 

A titre posthume, j'ai publié son livre "Le phare de lumière" sur mon site. C'est un manuscrit qu'il avait tenu en réserve et qui représentait les souvenirs de son passage à Cuba de manière romancée et que j'avais lu et tenté de corriger quand il le désirait. 

Je savais qu'il subsistait une certaine animosité rédhibitoire entre lui et moi. Celle-ci a changé plus on évoluait dans le temps. Il a ouvert les vannes de notre amitié à la suite d'un mail qu'il m'a envoyé à la suite de "Un cuba libre, por favor" qui correspondait à sa vision du pays. A Cuba, j'y avais été en 1996, en pleine période castriste. J'ai maintenu ce billet à jour dans son histoire en y ajoutant des commentaires.

J'ai maintenu les contacts et des commentaires avec lui dans une confrontation d'idées. Foncièrement socialiste, il adorait les contacts humains. Il éprouvait un amour pour le peuple cubain mais un désamour complet pour son régime castriste. Pour lui, la pauvreté du peuple cubain est inadmissible.

Le 12 avril 2008, Alain écrivait son premier commentaire sur agoravox. Il témoigne de ce sentiment

 Le journaliste d'"Un monde à part - Retour à Cuba, loin des cartes postales". Il y est retourné après 17 ans et cette pauvreté est devenue quasiment institutionnelle même après Castro.

 

Et puis sur agoravox, il y a eu un certain Maugis, léniniste et insultant, qui n'a fait qu'attaquer Alain pour sa vision de Cuba et qui est allé jusqu'à traiter Alain de pédophile. Alain avait relevé le défis de cette opposition sans en faire un scandale pour autant mais un coup d'œil aux commentaires envoyés par d'autres commentateurs "@maugis" est là pour ne pas en dire plus. 
Le port d'attache d'Alain restait Bruxelles. Chaque fois, qu'il y revenait, on se voyait. Il avait un frère en Belgique. C'est en décembre 2018 que nous nous sommes vu la dernière fois. La fatigue avait déjà pris le dessus sur son corps. 
Le moins qu'on puisse dire, c'est que nous étions, lui et moi, très différents et parfois même opposés sur des sujets très spécifiques. 
Lui, réagissait comme un littéraire et moi, avec ma logique mathématique dont j'ai continué à utiliser avant et après lui. 
Cette disparité avait même créé un quiproquo que j'avais écrit sous forme de pièce de théâtre "Le chiffre contre la lettre".. 
I
l parlait espagnol mais n'aurait jamais lu un sujet qui parlerait d'un auteur anglophone. Il avait une aversion contre tout ce qui était anglophone et en particulier contre les Etats Unis alors que moi, j'avais travaillé dans une multinationale américaine. C'est dire qu'il pouvait y avoir des courts circuits d'interprétation des phénomènes de la vie. 
A cette époque, d'après certains de ses commentaires, il semblait même apprécier Poutine parce que celui-ci était opposé aux Etats Unis et à l'Occident qui le poursuivait à la lettre dans d'autres mondes. 
Je me demande ce qu'il dirait après coup, s'il avait vécu aujourd'hui, à la suite de la guerre entre la Russie et l'Ukraine alors qu'un de ses commentaires disait qu'il ne croyait pas la guerre possible en 2015. 
Il écrivait sur mon site et aussi sur agoravox.fr avec le pseudo Asterix.

Il y a cinq ans, j'apprenais sa mort par un autre commentateur d'agoravox.fr. 
Alain n'a jamais mâché ses mots dans ses commentaires. 
C'est évident, il avait un franc-parler qui lui était propre. 
Je referme cette parenthèse correspondant à sa vie pour reparler de l'autisme. 
L'auteur "EgaliTED" entre autres avait écrit plusieurs billets sur l'autisme et il a reçu sa visite éclairée de Alain. La question "Est-ce que l'autisme est une maladie liée aux pollutions ?, n'a été qu'une occasion de plus pour réagir. 
L'autisme était une sorte de tabou pour Alain. Je sentais qu'il était énervé pour commenter les articles concernant cette manière spéciale d'être. Que les articles soient en minimisant ce phénomène, qu'ils soient trop théoriques ou trop simplistes et le faisait rebondir avec sa propre expérience. 
En général, il délimitait ses pensées par de fermes convictions sans écraser celles des autres, tout en terminant ses interventions par une formule de politesses et de salutations. 
On sentait qu'il avait une sorte de gène à en parler. Serait-ce un sentiment mêlé de remords, de reproches auxquels il tentait d'apporter les justifications à ses actes, à ce qu'il avait déduit de ce problème autistique et appliqué par son abandon comme solution à la suite de son attitude face à l'autisme de son fils cadet autiste et de son fils aîné qui ne l'était pas mais qui est devenu drogué ? Il ne l'a jamais avoué mais on pouvait ressentir une impression comme s'il avait, quelque part, raté sa vie de famille. Aujourd'hui, il n'est plus là pour confirmer ou infirmer mon impression. 
Il m'a évidemment beaucoup parlé de ses deux fils et de l'ambiance familiale. 
Alain marié avait eu une attention trop particulière, peut-être "trop exclusive" pour son fils autiste face à son fils aîné qui s'est senti délaissé. Cette attitude a créé des problèmes d'amour propre entre son fils ainé et lui. Ses contacts avec l'ainé se sont complètement détériorés renforcée par une addiction à la drogue qui s'est ajoutée. 
Les articles et commentaires qui banalisaient les effets destructeurs de l'autisme, lui étaient presque insupportables. L'autisme qu'il a connu n'a rien à voir avec celui de Syndrome d'Asperger (qui reste, malgré tout, un handicap) dont le "bénéficiaire" HPI apprend plus vite que son ombre. L'attention toute particulière qu'il avait accordé à ce fils cadet autiste, s'est retourné au désavantage de son fils aîné devenu drogué. 
Aujourd'hui, j'ignore ce que sont devenus ses fils. La question de "l'après l'autisme" s'est posées par de nombreux parents présents dans le débat à se demander ce que leur fils deviendrait quand ils ne seraient plus là. 
Le fils autiste de Alain est peut-être encore dans cet institut comme il l'avait été ou à espérer, qu'il ait trouvé un emploi à sa mesure ou à sa démesure. Beaucoup années se sont écoulées et, comme toujours, tout finit par évoluer en bien ou en mal. 
On pourrait dire qu'il a été lâche pour un père de ne pas avoir assumé l'éducation de ses deux enfants. 
Mais quand tout s'envenime, qu'on arrive à un point de non-retour, à cause d'années, de contacts houleux et ses souffrances avec ses deux fils, cette situation l'avait profondément marqué à le pousser la seule alternative de se déclarer inapte à pouvoir assumer son rôle de père dans ces conditions. 
Il s'est enfui de sa famille pour vivre une vie de bourlingueur dans un autre monde comme il l'explique dans sa description. 
C'est ce que je pense avoir compris de l'abandon de Alain..

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Dégoûté de la vie familiale, l'amour, pour lui, n'a plus jamais existé.
S'il a, ensuite, rencontré des filles de passage comme on le voit sur certaines photos, c'était pour que le corps exulte comme le chante Jacques Brel. Ces filles ne l'ont jamais l'intéressés en dehors de cet esprit sexuel. Il savait avant de commencer que ce n'était pas avec ses rencontres féminines qui allaient continuer sa vie. Financièrement, il n'avait pas de réels problèmes. Il n'a jamais sauté sa participation dans un institut pour autistes.
Bien plus tard, il a tenté de racheter "ses fautes" et "son abandon familial" auprès de son fils ainé aux îles Canaries. Peine perdue. Recoller les morceaux sans atomes crochus ne fonctionne pas.
Il n'attendait plus de son père que l'argent qu'il pouvait lui apporter pour satisfaire ses besoins de drogues. Les insultes fusaient entre son fils ainé et lui. Une nouvelle tentative avec le fils de son fils ainé. Ratée aussi.
Après, sentant l'âge avancé vers le bout du chemin, il a pensé au repos du guerrier avec une envie de se sédentariser à Madagascar, d'y construire une maison.
Son âge et le mien n'étaient séparés que de 3 mois.
Personnellement, je n'ai pas pris de risques pour assumer l'éducation d'enfants. J'ai fait partie des couples sans enfants. J'ai fait ma vie comme je l'ai voulue et pas pour un successeur.

Ce n'est donc pas moi qui vais juger ce qu'a fait Alain ni pour quoique ce soit.

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On vient d'apprendre que l'entreprise familiale Van Hool vient de déclarer la faillite à cause d'un conflit entre les héritiers 
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. 

Les actionnaires familiaux ont probablement tout perdu. 
Sans héritiers, Cela ne m'arrivera donc pas.

Seul celui qui a des idées personnelles est capable de rendre hommage aux idées d'autrui".  

C'est peut-être un reproche à faire à agoravox : le manque de suivi d'un billet ou d'un rédacteur.
Le retour en arrière peut servir de constat si les idées, les suppositions ou les rêves ont été réalisés à posteriori.
On fait des biopics pour les gens célèbres mais pas pour les autres.
Ce billet ne sera qu'un hommage puisqu'on ne fait que passer comme tous les communs des mortels.
"Seul mérite un hommage celui qui est capable de rendre hommage à autrui.”

 

Allusion


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28 réactions à cet article    


  • leypanou 9 avril 22:16

    Regardez le nombre de cas d’autistes aux États-Unis relativement au nombre d’injections qu’un enfant doit subir pour en avoir une idée : beaucoup pensent que l’autisme est toujours un cas de malchance, rien n’est moins vrai.

    Robert Francis Kennedy Jr a cotoyé de près ce genre de problèmes.


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 10 avril 09:15

      @leypanou bonjour,
        La famille Kennedy est reliée à une « malformation congénitale ». Règle aatholique : il faut se multiplier et avoir de nombreux enfants depuis le patriarche Joseph Patrick Kennedy qui pensait avoir une mission sur terre. 
        Rosemary Kennedy, 3ème enfant, de Joseph Patrick Kennedy et de Rose Fitzgerald. Sœur cadette de JFK35e président des USAPrésentée comme souffrant de troubles de l’humeur et du comportement, Rosemary subit une lobotomie et se retrouve handicapée mentale pour le reste de sa vie. Cachée du public et de sa famille dans un établissement psychiatrique puis religieux.
       
      Robert Francis Kennedy Jr, 3ème des 11 enfants d’Ethel Kennedy et de Robert Francis Kennedy, neveu de JFK et de Ted Kennedy. Son père, Robert Francis Kennedy, procureur général et candidat à l’élection de 1968Sa 2ème femme, Mary se suicide. Leur couple avait 4 enfants. Dans le noyau à l’origine de 2/3 de la désinformation concernant la pandémie. 


      Vous parlez du « l’autisme est toujours un cas de malchance, rien n’est moins vrai. ».
      Ce l’est aussi comme une « obsession » ou même une « malédiction » à devoir se retrouver au devant de la scène de génération en génération et à n’être ainsi jamais en paix.
      Suivre le cheminement de cette énorme famille, c’est tirer des fils dans « tous les sens » pour passer dans l’actualité, dans une certaine consanguinité du malheur. 


    • leypanou 10 avril 23:20

      @Réflexions du Miroir
      lisez cet article qui dit que les vaccins causent l’autisme, vous comprendrez


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 11 avril 08:40

      @leypanou
       Lisez cet article qui donne les principales causes de mortalité, vous comprendrez qu’il vaut peut-être mieux de ne pas naître.
        Je rigole, évidemment.
        Cet article donne les causes biologiques de l’autisme
      « Il est désormais établi que les roubles du spectre autistique (TSA) ou autisme sont d’origine multifactorielle, c’est-à-dire qu’ils se déclarent chez des personnes génétiquement prédisposées après exposition à un ou plusieurs facteurs environnementaux encore inconnus ».
        Le 20ème siècle a été le siècle des études autour du cœur et des maladies vasculaires, aussi appelées angiopathie, sont des maladies des artères artérielles, veineuses et lymphatiques. Dans les pays industrialisés, la maladie des vaisseaux sanguins artériels, c’est-à-dire les vaisseaux sanguins qui s’éloignent du cœur, est la première cause de décès dans les statistiques.
        Le 21ème siècle sera le siècle des problèmes et de l’étude du cerveau ou ne sera pas.
        Je suis aussi ferme que cela.
        Il n’y aucune invention et action humaine qui n’ai que des effets positifs sans en avoir de négatives.
        Ecoutez peut-être ce que dit le scientifique Alain Prochiantz interrogé pour son livre « Accident » 


    • Legestr glaz Legestr glaz 11 avril 08:54

      @Réflexions du Miroir

      copié-collé : « « Il est désormais établi que les troubles du spectre autistique (TSA) ou autisme sont d’origine multifactorielle, c’est-à-dire qu’ils se déclarent chez des personnes génétiquement prédisposées après exposition à un ou plusieurs facteurs environnementaux encore inconnus  ».

      Ecrire ceci ou rien, c’est pareil. Mettre les troubles du spectre autistique sur le compte de la »génétique« , c’est drôlement pratique. Toutes les maladies, d’ailleurs, pourraient être versées au compte de la »génétique« , c’est à dire du côté »pas de chance« , puisque l’on serait »génétiquement prédisposé« . Il suffit ensuite d’introduire des facteurs environnementaux »inconnus« et le tour est joué. Rien n’est expliqué, mais tout le monde est satisfait : c’est » l’héritage génétique« , on n’y peut rien ma bonne dame. Quant aux facteurs environnementaux »inconnus« on s’en tape ! D’ailleurs, ils ne sont pas »si inconnus que ça" mais c’est mieux de les cacher.


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 11 avril 09:08

      @Legestr glaz
        Tout est pratique quand il n’y a pas de théories et des réflexions qui les précèdent.
        Mon site a pour titre « Réflexions du Miroir » ce n’est pas « Autofiction du Miroir ».
        Je vais vous dire où j’aimerais vivre, sur une île déserte où il n’y a pas encore de pollution.
        Jacques Dutronc a de belles chansons « On nous cache tout » et aussi « L’opportuniste »


    • Legestr glaz Legestr glaz 11 avril 10:05

      @Réflexions du Miroir

      Si l’on voulait évoquer le « trouble du spectre autistique », il y aurait beaucoup de choses à exploiter, à mettre sur la table. En « réduisant » cette « ’pathologie » aux « prédispositions génétiques » on se coupe de la réflexion. C’est bien votre cheval de bataille non, « la réflexion » ?

      Mais bon, chacun réfléchi comme il le veut et fait les mises en perspective qu’il souhaite. Et, évidemment, « on » ne nous cache pas tout, on nous « cache certaines choses ».

      Par exemple, est-ce que l’on évoque les peptides opioïdes contenus dans les céréales ? Ces céréales « entières » si « bonnes » pour la santé ? Juste ce point mériterait d’être approfondi. Mais, « les grains entiers » sont, selon les « théories dominantes » excellents pour la santé n’est-ce pas ? Alors, non, on ne nous « cache pas tout », on « omet » de développer certains sujets trop dérangeants qui remettraient en cause l’alimentation de l’humanité. Et, ce qui n’est pas dit (caché ?) c’est que les céréales « actuelles », n’ont plus rien à voir avec les céréales du passé.

      Vous avez dit « réflexions » au pluriel ?


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 11 avril 10:23

      @Legestr glaz
       
       ’’ les troubles du spectre autistique (TSA) ou autisme sont d’origine multifactorielle, c’est-à-dire qu’ils se déclarent chez des personnes génétiquement prédisposées après exposition à un ou plusieurs facteurs environnementaux encore inconnus .... Mettre les troubles du spectre autistique sur le compte de la »génétique« , c’est drôlement pratique ’’
      >
      L’argument génétique c’est l’arbre qui cache la forêt des poisons.
       
      Or c’est cette forêt que nous signalent les personnes qui sont génétiquement prédisposés à tel ou tel poison, en cela qu’ils sont à leur insu, des lanceurs d’alerte. Ignorés, et pour le plus grand bonheur des industries, ceci expliquant cela.
       
      Si on ne réagit pas, ce sont des pans entiers de l’humanité qui finiront par y passer, avec un poison ou un autre, car nous sommes tous des êtres plus ou moins génétiquement prédisposés quelque part.


    • Legestr glaz Legestr glaz 11 avril 12:17

      @Francis, agnotologue

      C’est très exactement ça : les personnes dites « sensibles », les personnes dites « génétiquement prédisposées », sont celles qui protègent « l’espèce ». Il en est ainsi des « coeliaques » par exemple.

      Par « obligation », ces personnes écarteront de leur alimentation ce qui les rend malades. Mais l’industrie « alimentaire » est « maline », elle met sur le marché des produits « sans gluten » qui ont un succès considérable, sans se soucier de savoir si le « gluten » n’est pas l’arbre qui cache la forêt (... Selon les projections, le marché mondial des produits sans gluten atteindra les 6,2 milliards de dollars US d’ici 2018 et l’Amérique du Nord contribuera à environ 59 pour cent de cette part. Le marché sans gluten canadien s’élève à environ 450 millions de dollars par année. La demande de produits sans gluten a connu une croissance sensationnelle au cours des cinq dernières années, soit d’environ 26 pour cent ! ).

      Business is business ! 


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 11 avril 14:05

      @Legestr glaz
        Je vais vous étonner.
        Vous avez raison.
      Les céréales du passé, n’existent plus.
      Il suffit d’aller au marché pour le constater.
      Pourquoi est-ce comme cela ?
      L’expression « le client est roi est un slogan qui claque comme une vérité absolue est encore considérée comme une règle d’or à laquelle toute entreprise, tout vendeur doit se plier et faire en sorte de satisfaire les moindres désirs de ses clients« .
      Qu’est-ce qui entre en jeu ?
      Le prix.
      Cette semaine, à la radio ; le pouvoir d’achat était le sujet à la crème.
      Les animaux n’ont pas le problème de l’argent comme je l’écrivais dans »Jeux de savoir ou de pouvoir ?". Mais ils sont opportunistes. Ils n’en ont rien à cirer avec le fait que l’humanisme a apporté l’idée que l’opportunisme est prohibée par une croyance humaine.

      Ai-je bien mis le bon cheval en bataille ?


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 11 avril 14:12

      @Francis, agnotologue
       Je corrige à votre réflexion
      Les arguments sont l’arbre qui cache la forêt des poisons.
      A une certaine époque on nous dit qu’il ne faut pas manger de graisse.
      Puis on change d’idée.
      A un autre, c’est le sucre qui entre dans la consommation prohibée.
      Aujourd’hui, c’est la viande chez les spécistes.
      Nous sommes des omnivores.
      Aux chats et à leurs antécédents griffés, n’essayez pas de leur dire et leur donner des salades. Ce sont des carnivores.
      L’humanité ne fait partie que d’une des manières de vivre.
      Et comme vous dites, nous sommes tous génétiquement, physiologiquement, physiquement, intellectuellement prédisposés quelque part pour quelque chose.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 11 avril 15:03

      @Réflexions du Miroir
       
       ’’l’humanisme a apporté l’idée que l’opportunisme est prohibée par une croyance humaine.

      ’’
      >
       ?
      On croit se valoriser en se déclarant pragmatique et dévaloriser l’autre en le disant opportuniste. Pour le pragmatique, une chose est vraie parce qu’elle marche, autrement dit, la fin justifierait les moyens. Mais de quelle fin s’agit-il ?
      Ce principe qui énonce que la fin justifie les moyens est un anti-humanisme. cf. https://blogs.mediapart.fr/robert-marty/blog/170509/le-pragmatisme-faux-nez-de-l-opportunisme


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 11 avril 15:09

      @Francis, agnotologue,
        Bien d’accord. Mais pour le dire et l’écrire, il faut être mécréant. Ce que je suis.


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 11 avril 15:20

      @Francis, agnotologue,
        De la politique, j’ai écrit, il y a très longtemps « Au diable, les partis »
        En France, vous avez un président.
        Chez nous c’est un régime parlementaire à la proportionnelle du nombre de voix.
        Vous avez des listes de partis dans lesquelles vous pouvez panacher dans une seule liste choisie. Ce que j’aimerais, c’est pouvoir voter des personnes dans plusieurs listes.
        Je suis désolé de sortir du cadre de l’autisme.
        Mais la politique fait aussi partie du personnage « Asterix » qui a été sur agoravox à partir de 2008 (3 ans après moi), dont j’ai fait le biopic et que je ferai encore plus dans mon billet de fin de semaine sur « Réflexions du Miroir ».  


    • Legestr glaz Legestr glaz 15 avril 08:37

      @Francis, agnotologue

      copié-collé : « Si on ne réagit pas, ce sont des pans entiers de l’humanité qui finiront par y passer, avec un poison ou un autre, car nous sommes tous des êtres plus ou moins génétiquement prédisposés quelque part. »

      Il existe des possibilités d’éviter ces « poisons », nombreux, venant de notre alimentation. Les différents cancers que développe l’être humain pourraient être très largement contrôlés à la baisse en mettant en avant le facteur alimentaire. Parce que, en effet, d’autres facteurs sont bien moins sous notre contrôle personnel (comme la pollution atmosphérique ou les divers rayonnements, pour faire bref).

      Parce que les cancers sont des maladies du métabolisme et n’ont strictement rien à voir avec un « dysfonctionnement génétique ». Il y a bien une altération de l’ADN lors du développement des cancers, mais cette altération à des causes « non génétiques » et de très nombreuses recherches scientifiques se sont depuis longtemps attardées sur ce sujet. Par l’alimentation il est possible de réduire la formation des produits finaux de la glycation avancée, il est possible de contenir le « stress oxydatif » et la production trop abondante d’espèces réactives à l’oxygène, de maitriser la production d’aldéhydes hautement mutagènes (comme le méthylglyoxal ou le malondialdéhyde, pour ne citer que ces 2 chefs de file)

      ... « Les dommages à l’ADN » : Les génomes nucléaires et mitochondriaux sont continuellement endommagés par des agents exogènes (UV, rayons X, composés chimiques présents dans les aliments, l’eau, l’air), des sources endogènes telles que les espèces réactives de l’oxygène (ROS), les aldéhydes et les produits finaux de glycation avancée (AGE) et les réactions spontanées (hydrolyse).

      Les conséquences moléculaires de l’accumulation de dommages à l’ADN en fonction du temps sont :
      i) des aberrations génétiques, telles que des mutations et une instabilité chromosomique, et
      ii) le blocage des ARN et de l’ADN polymérases par des lésions de l’ADN, qui provoquent la signalisation des dommages à l’ADN et interfèrent avec le fonctionnement primaire de l’ADN.

      Les conséquences cellulaires et tissulaires des dommages à l’ADN comprennent des décisions sur le destin des cellules telles que la mort cellulaire et la sénescence conduisant à une perte fonctionnelle des cellules et des organes, au cancer, à l’atrophie et à l’inflammation."...


    • Fergus Fergus 10 avril 08:33

      Bonjour, Réflexions du miroir

      Merci pour cet intéressant tour d’horizon de ce que l’on nomme le « spectre autistique » tant les formes peuvent être différentes, que ce soit en termes de comportements et d’interactions humaines, ou en termes de capacités intellectuelles.

      J’ai vu et apprécié le film Le goût des merveilles que j’ai qualifié à l’époque de « superbe ode à la différence ». Je lui ai consacré un article : lien.

      De même ai-je vu un autre très beau film, d’animation celui-là, réalisé par un autiste asperger : Mary, Max et le syndrome d’Asperger : lien.

      J’ai été moins convaincu par le téléfilm de Le Bihan Tu ne tueras point, non sur le fond, qui m’a semble très juste, que sur la forme.

      Encore une fois, merci pour cet article et pour les réflexions qu’il inspire.


      • chantecler chantecler 10 avril 09:44

        @Fergus
        salut ,
        Au passage : pas « d’arrière pensée » sur le fait que tu aies été gardien de but ...
        (sauf que je continue à penser que ça te va bien et que c’est un état d’esprit : ne pas laisser entrer le ballon).

        Nous avons eu certes quelques accrochages par le passé , et gardons quelques désaccords , mais ça fait belle lurette qu’en ce qui me concerne c’est dépassé .

        Nous sommes tous différents et avons des visions différentes des choses ,de la réalité , de l’histoire , de la politique générale ou extérieure .

        Et puis agx , ce site , est une sorte de macédoine , de chaudron ,où chacun cherche ou expose sa vérité , son orientation et ses espoirs politiques et d’avenir .

        Nous tentons de nous informer et de comprendre , mais perso je doute que nous en ayons les éléments .... !

        Les décideurs , les responsables , ceux qui tiennent les ficelles ,prennent les décisions , décident de la guerre et de la paix ne s’expriment que rarement sur ce site ...

        Se mêlent pas à la piétaille ....

        Et puis perso je suis incapable de me prendre au sérieux .

        J’ai déjà bien du mal à gérer ma vie où elle en est  !
        ...

        L’autisme de base (celle sur laquelle s’était penché F. Deligny , étant l’autisme infantile de Kanner :
        A l’époque dans les années 50 , nous n’en connaissions pas grand chose .
        Les enfants autistes se retrouvaient généralement placés dans les services psychiatriques infantiles généraux .
        Où ils se retrouvaient « à part ».
        Perso je les y rencontrés .


        https://fr.wikipedia.org/wiki/Autisme_infantile

        ....Consulter aussi l’article général 1 wiki , concernant l’autisme , ses déclinaisons et les classifications actuelles .

        C’est un « monde » encore bien mystérieux , origine incertaine .
        Et dérangeants pour leurs familles ...

        Un peu comme les démences séniles où aujourd’hui le ba ba est l’Alzheimer..., ce qui est faux . Le pépé qui commence à dévisser de la tête , n’est pas forcément un Alzheimer (car j’en ai connu qui démarraient à 35 ans ).


      • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 10 avril 09:45

        @Fergus bonjour,
         En faisant le scanning de ce que l’on disait sur l’autisme avant de sortir cette préversion de mon billet définitif de fin de semaine, j’ai pu constater que vous êtes souvent intervenu dans les commentaires au sujet de ce « spectre autistique ».
          Le mot « spectre » veut dire « Apparition effrayante d’un mort. » et correspond bien à la situation d’un enfant qui n’est pas tout à fait comme les autres. 
          J’ignore si vous avez regarder le téléfilm « Tu ne tueras point » très bien interprété par Samuel Le Bihan comme avocat. La forme n’est peut-être conforme à votre goût, mais ce n’est pas la forme, mais le fond qui est toujours plus important à mes yeux comme je le rappelle dans le sketch que j’ai organisé et joué dans le « Chiffre contre la Lettre » avec Alain littéraire qui ne supportait pas de voir une fôte d’ortogaffe et moi, dans le domaine du numérique et des chiffres. Je n’en ai parlé dans ce billet, mais ce sketch a généré une coupure entre Alain et moi, pendant près d’un an. J’en parle dans « Un autre monde est possible ». Quand j’écris que nous étions très différent et parfois opposé, ce n’était pas pour faire bien ou pour se justifier.  
          Pour revenir au film « Tu ne tueras point », le long plaidoyer de l’avocat de fin dans le film était superbe de vérité. Comme il est dit par le présentateur du débat : on voudrait avoir un avocat comme lui. 
        Il citait aussi le cas des trisomiques avec le film Le Huitième Jour dans lequel
        Harry  est un homme seul qui se voue sept jours sur sept à son travail. Tout va basculer quand il rencontre Georges, une personne handicapée mentale atteinte de trisomie 21, qui vit dans l’instant. Ces deux êtres que tout oppose vont devenir inséparables.
          Inséparables, mais aussi par une suite de sacrifices.
          Quand, bien portant, bien dans sa tête, on constate la difficulté de vivre, la lutte de tous les jours. Cela craint même si cela fait partie des aléas de la vie.
          Avoir des enfants, c’est un choix, m’a-t-on dit. Je n’ai personnellement pas voulu assumer ce choix et risquer rater ce que j’aimais « créer des solutions » dans mon métier pour assurer une succession.


      • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 10 avril 12:55

        @chantecler bonjour,
         J’interviens pour dire que Alain de mon histoire n’était pas gardien de but, mais un fan de foot dans une équipe bruxelloise (l’Union Saint Giloise) qui d’après lui, voyait ce sport comme un jeu et une discipline et pas une équipe qui était attirée uniquement par l’argent.


      • Gasty Gasty 10 avril 09:40

        Je n’aimerais pas que l’on vienne en mon absence penser que ma vie fut celle représentée par la partie visible de l’iceberg et en conclure quoi que ce soit. Une impression d’amputation ...... de spoliation


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 10 avril 09:58

          @Gasty bonjour
           Je n’ai jamais caché que j’étais un mécréant.
           Scientifique de formation, j’ai simplement viré vers le numérique qui était encore dans les limbes. Je ne crois en rien. Exactement, comme le disait hier Alain Prochiantz au 28’ interrogé au sujet de son livre « Accident ».
            La liberté de pouvoir se tromper est une obligation dans les sciences de l’humain alors que dans les sciences numériques, en 40 ans d’utilisation des machines, je n’ai jamais connu d’erreur machine.
            Si on détecte une erreur d’utilisation, c’est que le potentiel de celle-ci n’a pas été analysé et contrôlé avant le lancement du produit hardware ou software..


        • Gasty Gasty 10 avril 10:17

          @Réflexions du Miroir

          Comme l’erreur est humaine, on devrait l’inclure dans les lois de la robotique.

          Asimov a commis l’erreur.


        • Gasty Gasty 10 avril 10:20

          Et pourchasser les robots qui en commettaient ( dans ses romans bien entendu)


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 10 avril 13:04

          @eau-mission bonjour,
            Tout à fait.
            L’histoire du « bug » en témoigne.
            Le premier bug est attribué selon la légende à un insecte introduit dans une machine, en l’occurrence un papillon de nuit, dans l’un des relais électromagnétiques du calculateur Mark II de l’université de Harvard.
            Aujourd’hui, il y a des aidants que l’on appelle par téléphone quand la machine ne fonctionne pas comme indiqué dans la notice. Il y a ceux que j’ai appelé des « Geeks fastoches ?
           Loi, j’ai plus été »Un Geek avant l’heure"

          Comme ce sont toujours des clients et qu’ils sont sous contrat, il faut poser les bonnes questions et les meilleures ne sont pas toujours celles que l’on pense.
           Votre PC ne fonctionne pas. Ok. Première question : la fiche de votre ordi est-elle bien connectée à l’électricité ?


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 10 avril 13:07

          Encore une question pour prendre la route ensuite.
          Pourquoi pensez vous que j’ai écrit « Kétamine voit rouge en passant à la version IA 2.0 » ?


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 10 avril 13:10

          @Gasty
           Dans « Passéistes vs futuristes », j’ai rappelé le testament de Azimov 


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 12 avril 16:42

          Petite correction à apporter dans le début de l’article : « Alain alias Spartacus »

          C’est « Alain alias Asterix » qu’il fallait lire.

          Spartacus est le rédacteur qui m’a prévenu de la mort d’Alain suite à un de ses billets. 

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