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Nicole Cheverney

Nicole Cheverney

L'ogre a dîné.
Peuples ! Payez la carte.
Béranger

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  • Premier article le 16/08/2014
  • Modérateur depuis le 22/09/2014
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Derniers commentaires



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 16 juin 2012 16:46

    @ Chems Eddine Chitour,

    « En espérant que l’économie verte ne soit pas un nouveau créneau pour le libéralisme sauvage et les requins de la finance... »

    Je crains fort qu’elle le soit. Car il s’agit en fait de ce que les Anglais appellent le « green business », imposer une nouvelle forme de capitalisme qui rapportera plus que jamais aux financiers et multinationales prêtes à prendre ce tournant « novateur » !!!

    La seule solution à adopter c’est la DECROISSANCE, raisonnée, raisonnable et progressive.

    De l’Occident, mère de la démocratie, est né un rejeton monstrueux, « le capitalisme », un véritable vampire insatiable.

    C’est nous, les peuples qui nourrissons la « bête » !

    Il suffit de regarder et d’observer les paniers de la ménagère le soir dans les files de supermarchés ! Je ne parle pas bien sûr, des besoins primaires à satisfaire en produits finis, mais de tout le superflu qui vient allourdir les notes à la caisse ! C’est un petit détail qui a son importance.

    Nous nous créons des besoins dont l’utilité est plus que contestable.

    Nos besoins en carburant sont démultipliés par le nombre de voitures par familles.

    Idem pour les téléviseurs, (un dans chaque pièce, dans certaines familles)

    Idem pour les smart phones,

    Idem pour les téléphones, portables, fixes, etc.. etc...

    Idem pour les voyages aux destinations lointaines loacost, et autres formules de rêve qui ne sont qu’un ultime cauchemard pour la planète, les besoins de kérozènes par avion sont énormes ! Et combien d’avion par jour traversent les couloirs aériens ?

    Et tant d’autres besoins consumméristes, outranciers. Indécents !

    Il s’agit de la culture de la consommation que les publicités entretiennent. Nous sommes dans une société aveugle. Irresponsable !

    Un seul fautif : LE CAPITALISME !

    Ce terme contient à lui seul toutes les tares du système.

    Vous supprimez ce système, vous supprimerez tous ses corolaires.

    Vous parlez de réduire la démographie ! Terme soft pour « réduction des populations ».

    Le commandant Cousteau l’avait à son époque un peu évoquée. Or il s’avère qu’il s’agit-là d’une idée ultra-libérale.

    Car le système capitaliste ne peut prospérer qu’autour de 5/6 milliards d’individus -et je suis large - Au delà de ce chiffre, il lui devient très difficile de s’adapter aux besoins primaires des populations, les ressources de notre planète étant épuisables.

    Les capitalistes l’ont bien compris. Pour cela « réduire la population », par tous les moyens : guerres, famines, déstabilisation de continents entiers, etc...

    L’expérience nous a prouvé que les continents les plus surpeuplés ne sont pas ceux qui mettent en danger la planète. Ces populations-là, ont vu leurs continents littéralement pillés, et leur éco-système détruits. Ils vivaient pour la plupart de cultures vivrières et d’élevages pastoraux.

    Et maintenant c’est au tour de l’Europe, avec la disparition de la paysannerie européenne, au profit des multinationales de l’agro-alimentaire. 

    La planète n’est en danger que par le fait et les actes criminels d’une plouc-tocratie mondialisée. Un groupe restreint d’individus.

    Une prise de conscience générale est entrain de nâitre. Gageons que d’elle naîtra une remise en question profonde de notre façon d’envisager l’avenir. Bien sombre....

    Cordialement.

     

     



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 16 juin 2012 13:09

    @ Rosemar,

     

    Merci infiniment de nous ramener à nos « classiques » oubliés. J’ai découvert Jean Giono vers les vingt ans. J’en avais été très troublée par la richesse du vocabulaire et les descriptions magnifiques de l’eau, du fleuve, et des paysages de la Haute-Provence et de ses populations laborieuses. Ce qui me plait chez Giono, c’était sa vision pointue de la mentalité de la Provence de cette époque : rude, âpre, assez noire finalement, dûe certainement à la pauvreté de cette région déshéritée. Il me rappelle en ce sens Henri Bosco, un autre écrivain provençal qui demanderait à être redécouvert.

    Cordialement.

     



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 16 juin 2012 12:02

    @ Héraclite,

     

    Sans compter les commentaires de certains, tous aussi grossiers les uns que les autres. Et qui visiblement n’élèvent pas le niveau d’Agoravox.

     

    Cordialement.



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 15 juin 2012 20:10

    @ drlapiano

    « L’euro n’est pas un problème »

    Je ne suis pas de votre avis. Bien avant l’année 2000, l’économiste De Rosa, prédisait, avant même l’émission de l’Euro, un vaste krack de cette monnaie « virtuelle » !

    Et pourtant de Rosa est un libéral ! 

    La seule chose peut-être que de Rosa n’avait pas prévu, c’était la crise financière systémique globale. Du moins ne l’avait-il pas évoquée, isolant le problème au seul Euro ! 

    Cordialement.



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 15 juin 2012 18:51

    Dans une réalisation artistique, ce n’est pas le support qui compte. Alors des images numériques peuvent égaler en magnificence la toile, le métal, le marbre, et la porcelaine ou céramique, bois, etc... J’ai toujours admiré Clader, par exemple pour ses mobiles. Je les trouve fabuleux.

    Ce qui compte c’est tout ce que l’artiste y mettra dedans. Ici, superbement reproduit, (deuxième photographie), comme une sorte de goélette, voile qui claque au vent. C’est très suggestif et particulièrement réussi.

    Pour ma part, j’aime...

    Le problème actuellement, c’est que l’art contemporain est bloqué par la politique culturelle en France, totalement inexistante. (j’ai moi-même un frère artiste contemporain, qui galère depuis quelques années après avoir été plébiscité aux Etats-Unis où il a passé une partie de sa vie et a fait un partie de sa carrière). Pour survivre dans le milieu de l’art, il faut savoir se vendre, et se compromettre avec le système. Ou alors aller mendigoter des subventions auprès des collectivités locales. 

    Et les subventions distribuées ne le sont pas toujours aux plus talentueux.

    Bref, on sent que l’artiste y a mis toute son âme. Et en plus, on perçoit la patte de l’architecte du point de vue des perspectives.

    Cordialement.

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