PascalDemoriane

@l’auteur

Votre exposé est vraiment intéressant, oui, mais ce qui est affligeant est que vous qualifiez de « fake news » une idée construite discutable il y a, ou depuis 15 siècles. Anachronisme et mésemploi du vocabulaire qui décrédibilise tout votre raisonnement. Quelle pollution mentale ! Quel formatage irrépressible ! Berk !

@Luc-Laurent Salvador

(Merci du chantier subtil que vous avez ouvert et de la suite délicate que vous annoncez. En plus merci de m’avoir faire découvrir les beaux textes touchants et troublants d’Alinéa.)

Ce que je vois se dessiner dans ce flux abondant et dérivant de commentaires collectifs, c’est une sorte d’arène dont vous êtes, confusément avec Alinéa, le taureau, que chaque spectateur commentateur tente de piquer à défaut d’oser le tuer en face, sans oser descendre dans le rôle assumé mais condamné du torero, donc en se réfugiant dans la foule, derrière la foule, en se drapant de surdité confortable, on voulant tous en être sans y être vu ! Hallucinant !
Il y a là ici une mise en abîme expérimentale, de quoi alimenter votre reflexion... et la nôtre.

Mais laissons se poursuivre l’expérience, et promettons nous d’en faire une analyse psycho-sociologique rétrospective quand la féria scripturale déchaînée sera apaisée !
Bravo pour ce pourtant paisible mais aussi pénible affrontement.

Cette physcience de la consique a quelque chose d’une confiserie de l’efficience, voire d’une conficience de l’effiserie !
Je dis cela sans moquerie, plutôt par enthousiasme pour l’audace et la curiosité de l’investigation aux limites de l’intelligible voir au-delà. Le problème étant que le thème de recherche abordé ici n’est pas forcément, et je pense forcément pas, verbalisable via le langage humain. D’ailleurs pourquoi le serait-il ?
Amicalement.

@ Madame Adèle Coupechoux
Vous parlez de ces « marche » blanches« médiatisées qui moi, me choquent ! Pourriez vous éclairer votre point de vue critique, le préciser.
D’une façon générale j’essais de travailler dans le d’une double approche, psychologique individuelle et sociologique collective. C’est pas facile et on est pas aidé ! Vos contributions m’aident souvent.

A propos du chaton  »Certains se sont reconnus dans sa peine. Dont moi." dites vous.
Evidement, dont vous, moi, d’autres ! C’est le propre de l’humain d’expérimenter cette peine, cette épreuve affective. La question n’est pas là, elle est de mesurer jusqu’où s’arrête l’intime et où commence le champs public, l’obscénité du spectacle, l’exhibitionisme émotionnel. Car le pouvoir lui, et la marchandise, elle, savent très bien se faire intrusifs dans l’intime, s’y faire admettre, y compris par le biais de l’émotion, vous l’avez compris.
Et savent très bien convertir une motion collective politique menaçante en motion collective émotionnelle inoffensive : la marche blanche justement !
Tout se tient.
La culture de l’émotion-compassion est un opium addictif de castration politique.
On commence par pleurnicher sur les chat, on fini par pleurnicher sur les humains dans le renoncement compassionnel à toute résistance !

@ M. Yoann ô 4 vents qui demandez :

« Comment se fait-il, encore de nos jours, que certains d’entre nous refusent d’admettre la cause anthropique (humaine) du réchauffement climatique ? »

Voilà une investigation à faire que vous ne faite pas ici. Vous prenez le problème global à l’envers sous la dictée de la doxa que vous restituez ici, sans prendre l’humain comme sujet de lui-même.

Il ne vous aura pas échappé que nos sociétés thermo-techno-developpées connaissent une crise structurelle globale, et que leur système de valeur réduit à la fiction de l’économie financière virtuelle est éffondré : ce n’est pas que le l’éco-système productif monde qui s’éffondre, mais l’éco-système psychique occidental qui tourne à la psycho-sociose collective aggravée. Le mal être économico-social atteint le stade neuronal, cérébral.

A voir l’état délirant et incohérents des discours institutionnels, de leurs injonctions contradictoires notamment sur le mythe plandémique covidien pour parler complotiste (!), A voir comment les institutions scientifiques les plus prestigieuses se sont vautré dans le caniveau de basses magouilles aux thèse frelatées (cas du Lancet...). Comment le capital de connivence a corrompu l’ensemble des circuits universitaires, publics et privés, gouvernementaux (McKinsey...), supranationaux (OMS, ONU, ONG...).
A voir cela, on comprend que la notion de conscience collective n’a plus d’assise.

La conséquence de cette mutation anthropologique psychique, c’est en gros que pour « les gens », croire en ceci ou cela n’a plus de sens, il n’y a plus de repère de confiance. « Les gens » fonctionnent en mode inhibé, régressif, automatique sous un régime de terreur, dans une liquidité cognitive, narrative constament falsifiée, viralisée, toxicisée, saturée, déstructurée.

Et vous en êtes un agents, sans doute malgré vous. Car l’écologisme, politique ou citoyen, n’est qu’une facette d’une ingénierie sociale et psychique totalitaire, avouée, déclarée et assumée comme telle par ses investisseurs et ses théoriciens édités bien connus.
Cela vous a t-il échappé ou êtes-vous psychiquement compartimenté ?
Comment accorder le moindre crédit au GIEC, délégation de façade de réseaux mafieux mondialisés.

Climat, CO2, Covid, Ukraine, Inflation... sont autant de spectacle d’abrutissement médiatisés et de pilotages mentaux incohérents, que « les gens » dans ce qui leur reste d’animalité instinctive et d’humanité traditionnelle culturelle les rejettent consciement ou non, tout en en singeant servilement les croyances.

Conclusion d’étape : votre question n’a pas de sens. Il faudrait demander : « Comment se fait-il, encore de nos jours, que certains d’entre nous refusent d’admettre la cause économique et mafieuse de l’éffondrement psychique moral et cognitif des masses occidentales, et de leur appétence régressive pour d’éphémères pseudo-religions comme l’écologisme punitif. »

J’irais même jusqu’à demander : « Après Auschwitz, dérive techno-sociale organisée sur des bases mafieuses, comment peut-on être écologiste vert de gris béat et souriant à M. Schwab ? »